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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 09:15

Ci-dessous le dernier numéro de notre newsletter Le + syndical :

http://www.cfecgc.org/publications/newsletter-le-plus-syndical/dernier-numero/

Dans ce nouveau numéro, retrouvez dans l’Actualité :

- La CFE-CGC en première ligne pour la défense de la retraite de l'encadrement,

- Le projet de loi Macron,

- La CFE-CGC multiplie les coups d’éclat…

Et dans la Vie de la CFE-CGC :

- La participation de Martine Keryer, secrétaire nationale confédérale à une rencontre sur la qualité de vie au travail,

- Les bons résultats de la CFE-CGC chez Oracle et Airbus Helicopters,

- Le nouveau bureau de la CFE-CGC Presse,

- La découverte de nouveaux blogs et sites Internet de structures CFE-CGC…

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 09:11
Conseil de prud'hommes de Montpellier
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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 09:08

La deuxième séance de négociation sur les retraites complémentaires s’est tenue le 20 mars 2015 au siège du Medef. Les éléments suivants sont à retenir de la discussion :

  • La CFE-CGC et l’ensemble des organisations syndicales ont contesté l’absence de cotisations supplémentaires dans le projet d’accord proposé par le Medef.
  • Tous les acteurs, organisations syndicales comme patronales, conviennent avec la CFE-CGC que la fusion ne résout en rien le problème de l’épuisement des réserves, mais certaines y voient l’avantage de générer un gain de temps pour le solutionner.
  • Le dispositif de réversion proposé par le Medef dans son projet d’accord est abandonné.
  • Les syndicats soulignent majoritairement le problème posé par les abattements temporaires dégressifs pour les personnes se situant hors emploi au moment de leur liquidation.
  • Deux autres mesures du projet d’accord du Medef sont majoritairement refusées : le gel prolongé de la valeur du point et les droits réduits accordés aux chômeurs.

Des nouveaux chiffrages ont été demandés aux services du GIE Agirc-Arrco en vue des prochaines séances de négociation fixées le 10 avril et le 27 mai. Des réunions bilatérales sont prévues entre chaque séance.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 17:49

La deuxième séance de négociation sur les retraites complémentaires a permis de confirmer que la fusion de l’Agirc et de l’Arrco n’était en rien susceptible de résoudre le problème de l’équilibre de ces deux régimes. Bien que toutes les organisations syndicales et patronales s’accordent sur ce point, certaines d’entres elles privilégient néanmoins cette hypothèse comme moyen de reporter à plus tard la mise en œuvre de solutions réelles. Conséquence de cette position si elle devait être adoptée : la remise en cause du statut de l’encadrement.

La CFE-CGC connaît mieux que quiconque le rôle de l’encadrement dans la structuration du corps social et l’efficacité économique des entreprises. La disparition de l’Agirc constituerait un non-sens social et économique au moment où les entreprises sollicitent un engagement de plus en plus important des personnels d’encadrement.

La CFE-CGC s’oppose donc totalement à la fusion de l’Agirc et de l’Arrco et fait des propositions constructives pour pérenniser chacun des deux régimes.

Lors de cette séance de négociation le Medef a marqué un recul sur la date de mise en œuvre d’abattements temporaires, portant celle-ci à 2019, sans renoncer au principe. Face au refus général des organisations syndicales, le Medef a également retiré sa proposition concernant la pension de réversion qui sera réexaminée sur de nouvelles bases.

En revanche, le Medef refuse toujours une hausse des cotisations nécessaire à l’équilibre des régimes. La charge porterait donc exclusivement sur les retraités et les salariés.

La CFE-CGC propose quant elle une répartition équilibrée des efforts.

La CFE-CGC continuera dans cette négociation à défendre avec détermination les personnels d’encadrement, leur retraite et leur statut.

Dossier suivi par : Serge LAVAGNA secrétaire national du secteur protection sociale

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 11:28

Alstom, Airbus, EDF, AREVA… dans l’œil du cyclone au moment où la loi Macron est débattue au Sénat.

En favorisant le développement du transport par autocars, la loi Macron pour la croissance et l’activité organise une concurrence frontale entre le car et le train.

La SNCF prévoit dès aujourd’hui 200 millions d’euros de pertes. Et au-delà de la SNCF, c’est l’ensemble de la filière ferroviaire et donc Alstom, constructeur historique du TGV, qui sera lourdement pénalisé par ce choix de l’Etat.

En bradant le contrôle de l’aéroport de Toulouse à un consortium sino-canadien, le Ministre de l’Economie n’a pas non plus hésité à prendre le risque de fragiliser Airbus.

Pire, la loi Macron va plus loin en planifiant la privatisation des aéroports de Nice et de Lyon, créant ainsi les conditions de la concurrence envers Aéroports de Paris et Air France.

Enfin, en pillant sans vergogne les ressources d’EDF avec près de 20 milliards d’euros de dividendes perçus en 10 ans, l’Etat met en péril la rénovation du parc nucléaire, fragilisant ainsi l’industrie nucléaire française et donc AREVA.

La CFE-CGC se révolte contre ces assassinats industriels programmés sur des fleurons industriels du pays. Elle exige du gouvernement une politique industrielle digne de la cinquième puissance économique mondiale qu’est la France.

Dossier suivi par Alexandre GRILLAT : secrétaire national Développement Durable – Energies – RSE et Logement

Mel : alexandre.grillat@cfecgc.fr

Contact presse : Pierre JAN – pierre.jan@cfecgc.fr

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 11:26

Le MEDEF orchestre la disparition de l’AGIRC, au prétexte de la création d’un régime unifié de retraite complémentaire. En clair cela signifie la mort du statut cadre et une perte de pension significative pour les retraités cadres ce que la CFE-CGC refuse.

La CFE-CGC est à l’origine de la création de l’AGIRC. La CFE-CGC dénonce cette volonté permanente depuis plusieurs mois du MEDEF de vouloir tirer les salariés de l’encadrement vers le bas. La CFE-CGC rejette un projet du MEDEF qui cumule sans retenue des dispositions radicales pour les retraités d’aujourd’hui et de demain et se refuse à demander la moindre contribution aux entreprises.

Les mesures du MEDEF que nous refusons :

- Gel des pensions jusqu’en 2018, portant la durée de celui-ci à 5 années consécutives, après les 2 années de gel 2014 et 2015.

- Abattement «temporaire» sur le montant des pensions, à compter de 2017, pouvant aller jusqu’à 40%. Cette mesure aurait pour conséquence de reporter à 67 ans l’âge auquel les retraités pourraient percevoir la totalité de leur retraite complémentaire.

- Réduction de la pension de réversion au conjoint survivant, qui ne pourrait être maintenue à son niveau actuel que si le retraité accepte une minoration permanente de sa propre pension.

La recherche d’une répartition équilibrée des efforts entre les entreprises et les salariés n’est pas la préoccupation première des organisations patronales. Dans leur projet, le fardeau est tout entier déposé sur les épaules des retraités et des futurs retraités.

Dans la négociation qui va se dérouler jusqu’au mois de juin, la CFE-CGC assumera une position très claire et refuse toute fusion de l’AGIRC et de l’ARRCO.

Pour la CFE-CGC un accord ne pourra être conclu qu’à la double condition :

- que celui-ci pérennise à la fois le régime des cadres et celui qui concerne tous les salariés.

- que les efforts soient partagés de manière équitable entre toutes les parties concernées : entreprises et salariés d’une part, mais aussi toutes les catégories de salariés d’autre part, et les retraités par rapport aux jeunes.

Dossier suivi par : Serge LAVAGNA secrétaire national du secteur protection sociale

( Mel serge.lavagna@)

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 18:23

Sortie dans un premier temps de la loi Macron et du 49.3, voilà maintenant une nouvelle ordonnance promulguée dans le cadre de la loi santé publique !

Un amendement est en préparation qui autorise le gouvernement à prendre par ordonnance, les mesures relatives à l’aptitude et à l’inaptitude médicale, ainsi qu’à l’organisation des services de santé au travail et aux missions des médecins du travail

A quoi sert la mission actuelle confiée au député Michel ISSOUDIN et à l’IGAS. Elle n’a pas encore rendu ses conclusions !

Pourquoi cette précipitation pour mettre à terre les services de santé au travail ?

La CFE CGC s’offusque du fait que le rôle préventif des services de santé au travail puisse être abattu par une simple ordonnance, en dehors du débat parlementaire et du débat public !

Dossier suivi par Martine KERYER secrétaire national en charge du secteur Santé au Travail et Handicap

Mel martine.keryer@cfecgc.fr

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 18:14

Retrouvez l’édito du 16 mars 2015 de François LENGLET sur RTL lors de son émission Lenglet-Co.

Il revient et explique les excellents résultats obtenus lors des élections professionnelles par la CFE-CGC grâce aussi à son positionnement.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 18:12

Le dernier numéro de notre newsletter Le + syndical :

http://www.cfecgc.org/publications/newsletter-le-plus-syndical/dernier-numero/

Service communication CFE-CGC

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 18:10

En rendant public son livre blanc pour le logement, le MEDEF vient d’afficher sa volonté de relancer un secteur fortement pourvoyeur d’emplois et essentiel à la qualité de vie et à la mobilité des salariés. La CFE-CGC salue la préoccupation désormais clairement assumée du MEDEF à apporter des réponses efficaces aux besoins des salariés en matière de logement.

C’est de longue date que la CFE-CGC alerte sur la situation du secteur du logement en France où on ne construit pas suffisamment de logements pour répondre aux besoins des salariés. Outre son impact sur des emplois à effet immédiat et non délocalisables, la pénurie de logements conduit à des prix élevés qui pèsent sur le budget des ménages, pénalise le parcours résidentiel des salariés et conduit à de longs trajets domicile – travail.

Consciente des enjeux que le logement constitue pour les salariés, la CFE-CGC ne ménage pas ses efforts, dans le cadre du dialogue social qu’exige un paritarisme responsable, pour renforcer la dynamique engagée par Action Logement à apporter les réponses qu’attendent les salariés et les entreprises. Sous l’impulsion des partenaires sociaux, cette dynamique a conduit à la signature fin 2014 d’une convention quinquennale qui traduit la confiance de l’Etat dans la capacité d’Action Logement à répondre aux enjeux.

Renforcer cette dynamique en concentrant l’énergie et les moyens d’Action Logement sur les vraies réponses aux besoins des salariés et donc des entreprises, c’est à cela que la CFE-CGC va désormais s’atteler, dans le respect d’un dialogue paritaire de qualité. Oui s’il s’agit de renforcer l’action et la visibilité d’Action Logement, non s’il s’agit d’engager une réforme qui serait la propriété du seul MEDEF !

Pour autant, la CFE-CGC considère que les enjeux de la politique logement du pays ne se limitent pas à Action Logement et qu’ils sont ailleurs. A en croire le dernier rapport IGAS-IGF-CGET, c’est l’efficacité des 46 milliards d’euros que le pays consacre chaque année au logement qui doit désormais être sérieusement évaluée. Optimiser les dispositifs de soutien à l’investissement locatif et des aides au logement pour supprimer les effets d’aubaine et dégager des ressources afin de relancer la construction de logements, optimiser le mouvement HLM… c’est aussi à ces chantiers que la CFE-CGC demande au gouvernement de s’atteler s’il veut apporter les réponses qu’attendent les français en matière de logement.

Dossier suivi par : Alexandre Grillat

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Présentation

  • : Le blog de cfecgc.urssafnordpasdecalais
  • : (2ème blog, voir rubrique liens utiles : http://cfecgc.urssafnordpasdecalais.over-blog.com)
  • Contact

Présentation de livres

Le stress des cadres, Bernard Salengro

Cet ouvrage propose des témoignages suivis d'explications et d'analyses donnant des clés pour la compréhension et la prévention des pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises. Les professionnels et membres d'encadrement sont d'autant plus concernés qu'ils sont les plus touchés.  Les entreprises sortiront gagnantes d'une prise en compte de ce phénomène à sa juste réalité en ne pratiquant plus le déni.

Le management par la manipulation mentale
, Bernard Salengro, L'Harmattan, 2006

Bernard Salengro met dans son second ouvrage, l'accent sur des situations vécues comme des manipulations. Par leur sincérité et l'analyse que Bernard Salengro a pu en faire à la lumière des derniers travaux de psychologie, les témoignages poignants publiés dans cet ouvrage donnent de précieuses clés pour la compréhension et la prévention de pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises.

Journal d'un médecin du travail,
 Dorothée Ramaut, édition Le Cherche midi, 2006

Présentation de l'éditeur :
Un adage affirme : " le travail c'est la santé ".  
Réalité ? Peut-être pas. Il s'agit même pour certains d'une véritable torture morale. Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut pendant six ans est un témoignage unique de la détresse et la souffrance psychologique des salariés d'une grande surface. Elle y dénonce un harcèlement " stratégique " et systématique appliqué à l'ensemble de la hiérarchie. Le docteur Ramaut est le premier médecin du travail à rompre le silence trop longtemps gardé sur ces méthodes " contraires aux droits de l'homme ".

Stupeur et tremblements
, d'Amélie Nothomb (roman), Le Livre de poche, 2001

Employée comme interprète au sein d'une entreprise japonaise, l'héroïne se retrouve, après plusieurs incidents, rétrogradée au simple rang de "nettoyeuse de chiottes". Description d'un monde du travail très particulier...

Harcèlement moral dans la vie professionnelle, 
 Marie-France Hirigoyen, Pocket, 2002

Le harcèlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient. Le succès du premier ouvrage de Marie-France Hirigoyen, paru en 1998, démontre que chacun d'entre nous est un pour l'acteur ou le témoin de ce phénomène social dont on ignorait jusque-là l'ampleur. Depuis, les témoignages se sont accumulés, de multiples affaires ont éclaté, dans le public ou le privé, un débat permanent s'est instauré dans les médias entre psychologues, chefs d'entreprise, syndicalistes, parties prenantes de ce fléau ordinaire. Riche de quatre années d'expériences et de réflexions nouvelles, Marie-France Hirigoyen, dans ce second ouvrage paru sous le titre original "Malaise dans le travail, harcèlement moral - Démêler le vrai du faux", affine son analyse, poursuit son combat, afin de mieux comprendre et prévenir.

Le harcèlement moral au travail,
 Philippe Ravisy, édition Dalloz-Sirey

Face noire du monde du travail, ce mal n'épargne personne : cadres, employés, fonctionnaires...
De silences en sous-entendus, de brimades en vexations, de déstabilisations en humiliations, le harcèlement s'installe. Aller au travail devient un enfer. La dépression succède à l'incompréhension. Le législateur est heureusement intervenu pour combattre ce fléau avec la mise en place d'un " dispositif anti-harcèlement " : d'un côté, la loi interdit, sanctionne et prévient ; de l'autre, elle protège et facilite la preuve.
L'apport des toutes dernières décisions de justice est aussi essentiel pour déterminer et mettre en cause les responsabilités de chacun, en particulier celle de l'employeur. Philippe Ravisy, l'un des tous premiers avocats à s'être préoccupé du sort des victimes, explique dans ce livre comment faire pour s'en sortir et obtenir réparation. Précis, complet, accessible à tous, il permet de trouver sa solution et de la mettre en œuvre.
 
La persécution au travail, de Heinz Leymann

Ce livre - best-seller en Allemagne et dans les pays nordiques, publié une première fois en France sous le titre « Mobbing » révèle l'étendue d'un vaste fléau. De nombreux salariés sont, sans raison valable, victimes de leurs collègues, de leurs supérieurs hiérarchiques, parfois même de leurs subordonnés coalisés contre eux: on les harcèle, on les met en quarantaine, on les humilie, on tente de les briser par tous les moyens. 
Comment identifier la persécution professionnelle? Comment la combattre? Quels sont les recours dont dispose le salarié? En répondant à ces questions, H. Leymann en appelle à la constitution concrète d'une véritable éthique professionnelle. 

L'open space m'a tuer,  Alexandre des Isnards et Thomas Zuber 
 
Le livre met en scène des tranches de vie en racontant le quotidien pas toujours glorieux des jeunes cadres des années 2000. Fini le jeune ambitieux des années 1980. Le trentenaire d'aujourd'hui prend ses RTT, ses congés, et pense que la vraie vie est ailleurs. Réussir sa vie et sa carrière semblent devenus deux objectifs antinomiques. 
Les nouvelles méthodes de management sont peut-être alléchantes sur le papier, mais carbonisent vite les jeunes recrues qui, passée l'ivresse des premiers mois s'éloignent de l'entreprise. Malaises vagaux sur le lieu de travail, dépendance médicamenteuse, dépression, départ du jour au lendemain de jeunes bardés de diplômes pour une ONG humanitaire : les jeunes cadres dynamitent. Jusqu'à présent, ils continuaient à faire bonne figure. Avec ce livre, ils décident enfin d'ôter le masque.

Petit traité contre le sexisme ordinaire de Brigitte GRESY
LE LIVRE 

Entrons en résistance ordinaire contre le sexisme ordinaire ! 

Ce que l’auteur nomme « sexisme ordinaire » ne relève ni de la discrimination ni de l’inégalité avérée pour lesquelles il existe des lois. Il s’agit de tous ces petits signes de la vie de tous les jours, ces minuscules blessures, mots et signes de condescendance, de rejet, de paternalisme qui infantilisent souvent les femmes sans qu’elles sachent comment y faire face.  

Dans les relations de travail, entre collègues, face aux cadres dirigeants ou quand elle est supérieure hiérarchique, une femme rencontre quotidiennement ce qui fait le gisement du sexisme ordinaire : condescendance, dénigrement, obstruction, exclusion, fausse courtoisie, 

blagues douteuses. A travers un certain nombre d’anecdotes prises sur le vif, l’auteur débusque avec passion mais aussi humour, ce qui entrave, blesse, contrarie ou bloque le comportement des femmes et les rend parfois impuissantes à réagir. Et elle propose une sorte de boîte à outils personnelle pour mener des opérations de résistance au quotidien. Le propos est ici celui de la connivence, de l’invitation au jeu si important de la négociation pour ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre, et pour aider à tracer son chemin face aux stéréotypes et à la guerre larvée de l’égalité.  

L’auteure renvoie à un site WWW.sexismeordinaire.com pour qu’hommes et femmes racontent leurs propres histoires vécues dans leur milieu de travail.  

L’AUTEUR 

Brigitte Grésy, énarque et agrégée de grammaire, a été directrice de cabinet de la ministre de l’égalité professionnelle et de la parité. Elle est actuellement inspectrice générale des affaires sociales, rapporteure de la commission sur l’image des femmes dans les médias et a remis en 

juillet dernier au ministre du travail un rapport sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.  

 

Osez le dialogue social dans l'entreprise

 

Faire du dialogue social un levier de la performance globale de l’entreprise en prenany en compte les attentes des salariés, c’est possible ! 

Qui a dit que le dialogue social était bloqué en France ? Tous les jours, dans des entreprises, même en temps de crise, dirigeants et syndicalistes discutent, négocient et trouvent des solutions nouvelles alliant performance globale de l’entreprise et prise en compte des attentes des salariés. 

Comment formaliser le dialogue social dans une PME en croissance ? 

Comment mettre en oeuvre l’accès des personnes handicapées à l’emploi ?

Comment anticiper les besoins de formation des salariés pour sécuriser leurs parcours professionnels et développer l’entreprise ?

Comment concilier droit des saisonniers et qualité du service touristique ? 

En neuf cas d’entreprises de tailles et de secteurs variés, cet ouvrage donne la preuve par l’exemple que le dialogue social est bénéfique pour les salariés comme pour la performance durable des entreprises. 

La parole y est donnée à des dirigeants et syndicalistes qui racontent sans fard les réalités de leur dialogue social. 

Les rédacteurs : 

Marie-Noëlle Auberger, consultante et rédactrice dans le domaine des relations sociales, de la gouvernance et de la responsabilité sociétale des entreprises.(www.gestionattentive.com). 

Nicolas Duffour, journaliste, conseil en communication, animateur de débats et colloques, présentateur d’IPSOS TV. 

Dominique-Anne Michel, journaliste, réalisatrice, conseil et formatrice en communication. Coordinatrice éditoriale de l’ouvrage. 

François Perrin, journaliste. 

Jean-Paul Guillot est docteur d’État es sciences économiques. Créateur, dirigeant et administrateur d’entreprises, il est président de Réalités 

du Dialogue Social (RDS), depuis 2005. 

Carmen Rubia est diplômée du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes. Directrice adjointe des relations extérieures du groupe Aprionis, elle est responsable du groupe de communication de RDS. 

L’association RDS réunit des entreprises, des structures publiques et l’ensemble des organisations patronales et syndicales représentatives au plan national. Lieu d’échanges ouvert, elle s’attache à promouvoir un dialogue social de qualité. 

 

(source : www.cfecgc.org) 

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