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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 00:30

PP60  02/11/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

( 01 55 30 12 12

www.cfecgc.org

 


 

Service Communication

Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

En ce jour d'ouverture du G20 (qui va plus ressembler à une réunion de sauvetage de la zone euro qu'à un véritable G20), la CFE-CGC dit STOP !

 

STOP au diktat du “tout finance” !

 

Il est temps de revenir aux fondamentaux de la finance qui sont de soutenir l'activité économique des entreprises, des associations et des ménages, afin de soutenir l'emploi et le pouvoir d'achat des populations. Les banques, demain comme aujourd'hui, doivent continuer à financer les projets de nos TPE, PME/PMI et grands groupes français. Si les robinets du crédit venaient à se fermer, c'est toute l'activité économique de notre pays qui serait mise à mal. Avec ses conséquences sur la croissance, l’emploi et le pouvoir d’achat.

 

Pour la CFE-CGC, il est fondamental de taxer très fortement le flash trading, c'est-à-dire toutes les transactions purement spéculatives inférieures à une journée. En parallèle, il est vital de mettre fin aux centres de finances off-shore, aux paradis fiscaux et au secret bancaire afin que tout le monde de la finance joue avec les mêmes règles et dans la transparence. Il est également primordial que les hedges funds se voient appliquer la même législation que les banques .

 

En parallèle, il n'y aura pas de salut pour la zone euro sans mise en place d'un véritable gouvernement européen, d'une Europe économique, sociale et fiscale, afin de mettre un terme aux délocalisations purement opportunistes, au dumping social et ainsi d’entraîner tout le monde vers le haut et non vers le bas comme cela se pratique depuis des années.

 

Il s'agit pour la CFE-CGC de remettre de l'équité entre les citoyens des différents pays mais aussi entre les entreprises. Il est aujourd'hui aberrant de constater en France qu'une TPE ou PME/PMI paye davantage d'impôts sur les sociétés que les grands groupes du CAC40. Ré-équilibrons tout cela, afin de redonner le goût d'entreprendre en France et de libérer la création d'entreprises. La création d'emplois locaux et durables passe, en France, par nos TPE et PME/PMI qui sont les poumons de notre activité économique. Avec elles, c'est l'emploi qui se développera et le pouvoir d'achat, afin de maintenir la consommation des ménages français.

 

Pour la CFE-CGC, il n'est plus envisageable de continuer de s'attaquer à la classe moyenne sans risquer un mouvement de révolte profond et ingérable.

 

La classe moyenne contribue à tout et bénéficie de peu en retour. Nous sommes au bout de ce qu'elle peut accepter. Redonnons des perspectives d'emplois et de pouvoir d'achat pour ces agents de maîtrise, ces techniciens et ces cadres qui jouent un rôle clé dans nos entreprises et dans nos fonctions publiques. Sans cela un phénomène tel que les indignés pourrait bien s'installer durablement en France...

 

La CFE-CGC interpelle et alerte officiellement le gouvernement français dans le cadre de ce G20 : STOP, la classe moyenne a suffisamment donné et trinqué en France ! Elle ne peut plus accepter de nouvelles mesures qui viendraient réduire son pouvoir d'achat : trouvez une nouvelle cible !

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 08:16

PP58  25/10/2011

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

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Pierre Jan

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Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

Stanislas Martin, médiateur du gouvernement à Mayotte nommé par la ministre de l'Outre-Mer, semble atteint de cécité et de surdité, constate la CFE-CGC.

 Son refus de reconnaître un conflit dur, dont l'origine est provoquée par le ras-le-bol général face à la vie excessivement chère à Mayotte, est de mauvais augure pour son réglement.

 Non, le retour au calme ne veut pas dire résolution des problèmes à Mayotte ! Si médiation il doit y avoir, la CFE-CGC demande qu'elle s'attache à relancer un dialogue constructif : à un problème, réfléchir ensemble à une solution !

 La CFE-CGC est prête à toute négociation et demande une discussion responsable autour de ses propositions  :

 - le renforcement à hauteur de 300 millions du fonds de développement économique social et culturel ;

- la réalisation d'un plan de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences sur quinze ans ;

- le contrôle des prix par l'État et le soutien à la consommation...

 Au ministre de l'Outre-mer à prendre ses responsabilités.

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 08:08

PP59  25/10/2011

 

 

 

CFE-CGC

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Pierre Jan

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Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

L’Agence centrale des organismes de Sécurité sociale (ACOSS),   Caisse nationale des URSSAF, va installer son  conseil d’administration dans le cadre du renouvellement des mandats.

Elle doit procéder à l’élection du  président et du vice-président.

Ainsi qu’elle l’a déjà exprimé à l’occasion de l’élection du président du conseil d’administration de la CNAF, la CFE-CGC réitère son attachement à un juste équilibre dans la répartition des présidences des caisses nationales entre les partenaires sociaux.

Le respect de  ce principe est un gage d’efficience au bénéfice des affiliés.

La CFE-CGC restera fidèle à ce principe, ce qui est fondamental dans le contexte de turbulence économique susceptible de porter atteinte aux règles fondatrices de notre système de protection sociale.

Ainsi,  la CFE-CGC soutiendra la candidature présentée par les employeurs pour la présidence de l’ACOSS de même que celle  présentée par la CGT pour la vice-présidence.

Cette ligne de cohérence amènera  la CFE-CGC à porter une vigilance particulière sur les positions prises par les autres confédérations  lors de  l’élection des présidences de la CNAVTS,  de l’ARRCO et de l’AGIRC.

 Nous nous devons de porter une unité constructive au service  des salariés et des  retraités.

 

 

 

           

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 21:18

INC BRANCHE RECOUVREMENT

20 OCTOBRE 2011

DÉCLARATION DE LA CFE-CGC

Un bilan alarmant, un avenir inquiétant

La CFE-CGC partage le constat selon lequel la Sécurité Sociale doit faire face à un défi financier inédit et compliqué.

Au regard du rôle collecteur social principal que joue la branche recouvrement, il paraît effectivement indispensable d’accroître la qualité de service.

 Mais pour la CFE-CGC, les moyens pour y parvenir ne semblent pas à la hauteur des enjeux.

Aujourd’hui, c’est la régionalisation qui est prônée.

La régionalisation, par la réunion des moyens, des expériences et des compétences serait l’une des conditions pour répondre aux exigences sans cesse croissantes qui concernent le cœur de métier.

Et, cette réforme assurerait à tous les collaborateurs de la branche des conditions de travail satisfaisantes et des perspectives de carrière élargies à l’échelle régionale.

En réalité, la réforme s’inscrit dans un contexte de restriction budgétaire sans précédent avec, paradoxalement, des objectifs de plus en plus ambitieux.

 Certes, le contexte économique est très difficile.

 Mais, à trop vouloir restreindre les moyens et à réduire les coûts, on finit par tuer un service public de première importance et à créer les conditions de son démantèlement.

Même si des efforts ont été réalisés pour résorber les stocks dans la branche recouvrement, la situation apparaît toujours aussi préoccupante.

D’après les chiffres communiqués dans le cadre de cette INC, à fin août 2011, il était encore dénombré pour les 93 organismes et toutes catégories de cotisants confondues 854.962 instances !

 Les réorganisations se succèdent, les conditions de travail deviennent de plus en  insupportables avec toutes les conséquences néfastes qui en résultent sur la santé des agents

Les perspectives de carrière sont en berne et certains emplois menacés par les rapprochements (doublons).

 Le nombre des agents de direction passerait de 292 à environ 200 en 2017 par le jeu des départs naturels. Et pour les autres cadres, c’est également l’inquiétude qui prévaut.

 Les cotisants sont mécontents, les accueils physiques et téléphoniques sont sous pression et de plus en plus exposés à des actes d’incivilité.

 Le système d’information actuel, centré sur le SNV2, a été conçu il y a 25 ans. Il est devenu complètement obsolète.

Et le projet de rénovation du système d’information, s’il a suscité des espoirs, soulève maintenant des interrogations.

Alors que les besoins sont immédiats, la rénovation sera menée, de façon progressive, sur deux périodes conventionnelles (2010-2013 et 2014-2017).

 Et, le système d’information pourrait être dépassé au terme de sa rénovation tant sont rapides les évolutions informatiques.

 La branche recouvrement est en danger et avec elle le financement de la protection sociale.

Un changement de cap est nécessaire.page1image4272
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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 16:46

PP57  20/10/2011

 

 

 

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Mél : pierre.jan@cfecgc.fr


 

La CNAF élit aujourd’hui le président de son Conseil d’Administration dans le cadre du renouvellement des mandats.

 

À cette occasion, la CFE-CGC réaffirme son attachement au juste équilibre dans la répartition des présidences des Caisses nationales entre les partenaires sociaux. Cette recherche d’équilibre est une preuve d’efficience des partenaires sociaux au bénéfice des affiliés des différents régimes de la protection sociale en France.

 

Fidèle au respect du rôle de chacune des organisations syndicales et patronales qui avait prévalu  en 2006, et particulièrement dans ce moment de crise et de tension qui met en péril notre système de protection sociale, la CFE-CGC apportera ses voix au candidat de la CFTC, le président sortant Jean-Louis Deroussen.

 

Dans ce même état d’esprit, nous serons vigilants sur les positions prises par toutes les confédérations dans les élections de toutes les caisses nationales sans oublier l’ARRCO et l’AGIRC.

 

Nous avons plus que jamais besoin d’unité constructive au service des salariés et retraités.

 

 

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 19:03

Après le colloque sur la souffrance au travail organisée le 28 septembre 2010, L'union régionale CFE-CGC Nord Pas de Calais organise sa rentrée sociale 2011.
L'Union Régionale vous invite à y participer à l'occasion d'un colloque organisé en partenariat avec la MACIF le 22 novembre 2011 au Mercure de Lesquin sur le thème de l'Economie Sociale et Solidaire.

L'Economie Sociale et Solidaire est un secteur très important et en croissance constante. Créateur d'emplois et porteur d'espoir, il concerne des dizaines de milliers d'entreprises et d'emplois .

La CFE-CGC est  la première Organisation Syndicale à s'engager résolument dans cette voie et à organiser un évènement de ce type dans notre région.

Articulée autour de tables rondes, avec de nombreux intervenants de haut niveau, sur des thèmes innovants, cette journée sera, pour l'Union Régionale CFE-CGC, l'occasion  de réaffirmer son s'engagement dans cette voie en portant un message véritablement original.
 

Inscription obligatoire auprès de  l'Union Régionale CFE-CGC Nord Pas de Calais.

 

Le programme de la manifestation cliquez ici

 

Télécharger le bulletin d'inscription cliquez ici

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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 15:48

PP55  18/10/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

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Pierre Jan

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Mél : pierre.jan@cfecgc.fr


Réfléchir aux moyens d’améliorer la gouvernance des entreprises avec l’objectif d’une meilleure compétitivité, telle est l’une des missions du Cercle des administrateurs salariés (CAS) CFE-CGC.

 

Lors de sa dernière réunion, le [date], à l’initiative de la CFE-CGC de l’Association française de normalisation (AFNOR), le CAS a pu suivre la démonstration que la responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) relève d’une stratégie dont sont responsables les organes de gouvernance.

 

Les administrateurs CFE-CGC voient confirmer leur conviction que la rentabilité à moyen et long terme des capitaux investis dépend fortement des dynamiques liées à l’environnement territorial, social et sociétal de l’entreprise. Or la RSE est encore trop souvent considérée sous l’angle du seul risque et ainsi confiée aux seuls comités d’audit.

 

Pour la CFE-CGC, les conseils d’administration doivent prendre à leur compte cette réflexion et s’interroger sur leurs responsabilités en la matière. La RSE ne doit plus être limitée à une communication financière, comme le révèle une récente étude de Capitalcom.

 

La CFE-CGC réaffirme la nécessité :

d’évaluer la RSE selon les principes de la norme ISO 26000 ;

de créer, au sein de conseils d’administration, un comité chargé des questions de RSE, dans lequel un administrateur salarié est membre à part entière ;

de dissocier les questions de RSE des travaux du comité des comptes, des risques ou des nominations.

 

Le Cercle des administrateurs salariés (CAS) CFE-CGC va s’appuyer sur le nouveau Club des administrateurs salariés de l’Institut français des administrateurs (IFA) pour promouvoir, dans cette optique, une meilleure gouvernance de la RSE.
Cette démarche de responsabilité s’inscrit dans l’approche globale que la CFE-CGC met actuellement en œuvre au travers de son enquête nationale (sur www.nouveaudialogue.fr) sur le thème de la RSE comprise comme REDONNONS du SENS ENSEMBLE.

 

 

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 10:19

Dans la perspective de la réunion de l'Instance nationale de concertation du 20 octobre 2011 à 14 heures 30 consacrée à la branche Recouvrement, l'UCANSS a mis en ligne, sur son site Internet, les documents de support de cette réunion.


Vous pouvez les consulter en reproduisant l'adresse suivante :


http://extranet.ucanss.fr/contenu/public/EspaceRessourcesHumaines/InstancesParitaires/INC/inc_index.htm


ou, sur le site de l'UCANSS, en empruntant le chemin d'accès ci-après :


Textes et documents/lservices aux organismes/Ressources Humaines/Instances paritaires/INC/Année 2011/Séance du 20 octobre 2011


Si, vous souhaitez réagir sur le contenu de ces documents, merci d'utiliser la rubrique "Ecrire un commentaire".

 

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13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 20:57

Composition du collège "cadres" :

  • nombre d’inscrits : 137 (143 en 2009) (site de Lille : 74 (77 en 2009), site de Tourcoing : 30 (34 en 2009), site de Valenciennes : 33 (32 en 2009))
  • nombre de suffrages exprimés : 109  (130 en 2009) (site de LILLE : 56, site de Tourcoing : 27, site de Valenciennes : 26)
  • Taux de participation : 79,56 % (90,90 % en 2009) (site de Lille = 75,67 %, site de Tourcoing  = 90 %, site de Valenciennes = 78,78 %)

4 listes se présentaient :

  • CFDT 
  • CFE-CGC 
  • CGT 
  • FO/SNFOCOSS 

La liste FO/SNFOCOSS a obtenu 61 voix (111 en 2009) (site de Lille : 28 (60 en 2009), site de Tourcoing : 12 (25 en 2009), site de Valenciennes : 21 (26 en 2009)) soit 55,96 % des suffrages exprimés sur les trois sites (85,38 % en 2009).


La liste CFDT a obtenu 19 voix (CFDT pas candidate en 2009) (site de Lille : 8, site de Tourcoing : 8, site de Valenciennes : 3) soit 17,43 % des suffrages exprimés sur les trois sites.


La liste CFE-CGC a obtenu 16 voix (18 en 2009) (site de Lille : 9 (7 en 2009), site de Tourcoing : 6 (6 en 2009), site de Valenciennes : 1 (5 en 2009)) soit 14,67 % des suffrages exprimés sur les trois sites (13,84 % en 2009)


La liste CGT a obtenu 10 voix (CGT pas candidate en 2009) (site de Lille : 9, site de Tourcoing : 0, site de Valenciennes : 1) soit 9,17 % des suffrages exprimés sur les trois sites.

Dans le collège "employés", les résultats sont les suivants :

Liste CGT : 84 voix (93 en 2009)
Liste FO : 63 voix (83 en 2009 avec CFDT et CFTC )
Liste CFDT : 25 (83 en 2009 avec FO et CFTC)

En conclusion, sont élus :

Collège "cadres" :  1 titulaire et 1 suppléant (FO/SNFOCOSS), 
Collège "employés" : 1 titulaire et 1 suppléant (CGT), 1 titulaire et 1 suppléant (FO)

 

Nous remercions vivement tous nos électeurs et électrices.

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 11:45

PP54  10/10/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

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Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.f

 


Nous vivons dans une société qui se délite. Les salariés sont déboussolés. L’encadrement est désorienté quant à sa mission et son rôle dans l’entreprise… Pour comprendre ces phénomènes et y apporter des réponses, la CFE-CGC lance aujourd’hui une grande campagne de consultation sur le terrain avec l’objectif de « redonner du sens » aux individus et à leur existence, à la vie en entreprise, au syndicalisme, à l’État, à la société… L’objectif est de créer les conditions d’un dialogue innovant et interactif.

 

Cette campagne nationale prendra dans un premier temps la forme d’un questionnaire en ligne, ouvert à tous les publics :

 

 

www.nouveaudialogue.fr

 

Réalisé en partenariat avec l’Observatoire du dialogue et de l’intelligence sociale (ODIS), spécialiste de l’observation sociale depuis vingt ans, cette consultation a pour objectif de « donner la parole et recueillir  les propositions » de tous ceux et celles qu’on n’écoute plus, qu’ils soient syndicalistes ou salariés anonymes. La CFE-CGC a l’ambition de renouer un dialogue constructif, plutôt que de sombrer dans une posture d’opposition stérile, ainsi que l’ont démontré les nombreuses manifestations infructueuses de ces derniers mois, notamment contre la réforme des retraites qui s’est malgré tout imposée.

 

À l’issue de cette consultation, fin novembre 2011, les instances confédérales feront une première analyse des résultats dont les conclusions serviront de support au lancement d’un « tour des régions » original. De janvier à juin 2012, une quinzaine d’unions régionales CFE-CGC animeront des forums d’échange avec le grand public, invité localement à faire « le procès du syndicalisme ». Un procès qui prendra à chaque fois la forme d’une pièce de théâtre interactive, reflet des interrogations, des critiques et des solutions exprimées lors de cette vaste consultation.

 

La CFE-CCC veut aussi recueillir les préoccupations et les propositions des 94 % de non syndiqués en France, avec l’ambition d’inventer un nouveau mode d’expression qui corresponde à un véritable « pacte social » à mettre en place pour une société plus juste, à la confiance retrouvée et à l’écoute de toutes ses composantes.

 

Le détail de cette campagne : http://bit.ly/psc2rz

 

Rendez-vous sur : http://www.nouveaudialogue.fr

 

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Présentation

  • : Le blog de cfecgc.urssafnordpasdecalais
  • : (2ème blog, voir rubrique liens utiles : http://cfecgc.urssafnordpasdecalais.over-blog.com)
  • Contact

Présentation de livres

Le stress des cadres, Bernard Salengro

Cet ouvrage propose des témoignages suivis d'explications et d'analyses donnant des clés pour la compréhension et la prévention des pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises. Les professionnels et membres d'encadrement sont d'autant plus concernés qu'ils sont les plus touchés.  Les entreprises sortiront gagnantes d'une prise en compte de ce phénomène à sa juste réalité en ne pratiquant plus le déni.

Le management par la manipulation mentale
, Bernard Salengro, L'Harmattan, 2006

Bernard Salengro met dans son second ouvrage, l'accent sur des situations vécues comme des manipulations. Par leur sincérité et l'analyse que Bernard Salengro a pu en faire à la lumière des derniers travaux de psychologie, les témoignages poignants publiés dans cet ouvrage donnent de précieuses clés pour la compréhension et la prévention de pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises.

Journal d'un médecin du travail,
 Dorothée Ramaut, édition Le Cherche midi, 2006

Présentation de l'éditeur :
Un adage affirme : " le travail c'est la santé ".  
Réalité ? Peut-être pas. Il s'agit même pour certains d'une véritable torture morale. Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut pendant six ans est un témoignage unique de la détresse et la souffrance psychologique des salariés d'une grande surface. Elle y dénonce un harcèlement " stratégique " et systématique appliqué à l'ensemble de la hiérarchie. Le docteur Ramaut est le premier médecin du travail à rompre le silence trop longtemps gardé sur ces méthodes " contraires aux droits de l'homme ".

Stupeur et tremblements
, d'Amélie Nothomb (roman), Le Livre de poche, 2001

Employée comme interprète au sein d'une entreprise japonaise, l'héroïne se retrouve, après plusieurs incidents, rétrogradée au simple rang de "nettoyeuse de chiottes". Description d'un monde du travail très particulier...

Harcèlement moral dans la vie professionnelle, 
 Marie-France Hirigoyen, Pocket, 2002

Le harcèlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient. Le succès du premier ouvrage de Marie-France Hirigoyen, paru en 1998, démontre que chacun d'entre nous est un pour l'acteur ou le témoin de ce phénomène social dont on ignorait jusque-là l'ampleur. Depuis, les témoignages se sont accumulés, de multiples affaires ont éclaté, dans le public ou le privé, un débat permanent s'est instauré dans les médias entre psychologues, chefs d'entreprise, syndicalistes, parties prenantes de ce fléau ordinaire. Riche de quatre années d'expériences et de réflexions nouvelles, Marie-France Hirigoyen, dans ce second ouvrage paru sous le titre original "Malaise dans le travail, harcèlement moral - Démêler le vrai du faux", affine son analyse, poursuit son combat, afin de mieux comprendre et prévenir.

Le harcèlement moral au travail,
 Philippe Ravisy, édition Dalloz-Sirey

Face noire du monde du travail, ce mal n'épargne personne : cadres, employés, fonctionnaires...
De silences en sous-entendus, de brimades en vexations, de déstabilisations en humiliations, le harcèlement s'installe. Aller au travail devient un enfer. La dépression succède à l'incompréhension. Le législateur est heureusement intervenu pour combattre ce fléau avec la mise en place d'un " dispositif anti-harcèlement " : d'un côté, la loi interdit, sanctionne et prévient ; de l'autre, elle protège et facilite la preuve.
L'apport des toutes dernières décisions de justice est aussi essentiel pour déterminer et mettre en cause les responsabilités de chacun, en particulier celle de l'employeur. Philippe Ravisy, l'un des tous premiers avocats à s'être préoccupé du sort des victimes, explique dans ce livre comment faire pour s'en sortir et obtenir réparation. Précis, complet, accessible à tous, il permet de trouver sa solution et de la mettre en œuvre.
 
La persécution au travail, de Heinz Leymann

Ce livre - best-seller en Allemagne et dans les pays nordiques, publié une première fois en France sous le titre « Mobbing » révèle l'étendue d'un vaste fléau. De nombreux salariés sont, sans raison valable, victimes de leurs collègues, de leurs supérieurs hiérarchiques, parfois même de leurs subordonnés coalisés contre eux: on les harcèle, on les met en quarantaine, on les humilie, on tente de les briser par tous les moyens. 
Comment identifier la persécution professionnelle? Comment la combattre? Quels sont les recours dont dispose le salarié? En répondant à ces questions, H. Leymann en appelle à la constitution concrète d'une véritable éthique professionnelle. 

L'open space m'a tuer,  Alexandre des Isnards et Thomas Zuber 
 
Le livre met en scène des tranches de vie en racontant le quotidien pas toujours glorieux des jeunes cadres des années 2000. Fini le jeune ambitieux des années 1980. Le trentenaire d'aujourd'hui prend ses RTT, ses congés, et pense que la vraie vie est ailleurs. Réussir sa vie et sa carrière semblent devenus deux objectifs antinomiques. 
Les nouvelles méthodes de management sont peut-être alléchantes sur le papier, mais carbonisent vite les jeunes recrues qui, passée l'ivresse des premiers mois s'éloignent de l'entreprise. Malaises vagaux sur le lieu de travail, dépendance médicamenteuse, dépression, départ du jour au lendemain de jeunes bardés de diplômes pour une ONG humanitaire : les jeunes cadres dynamitent. Jusqu'à présent, ils continuaient à faire bonne figure. Avec ce livre, ils décident enfin d'ôter le masque.

Petit traité contre le sexisme ordinaire de Brigitte GRESY
LE LIVRE 

Entrons en résistance ordinaire contre le sexisme ordinaire ! 

Ce que l’auteur nomme « sexisme ordinaire » ne relève ni de la discrimination ni de l’inégalité avérée pour lesquelles il existe des lois. Il s’agit de tous ces petits signes de la vie de tous les jours, ces minuscules blessures, mots et signes de condescendance, de rejet, de paternalisme qui infantilisent souvent les femmes sans qu’elles sachent comment y faire face.  

Dans les relations de travail, entre collègues, face aux cadres dirigeants ou quand elle est supérieure hiérarchique, une femme rencontre quotidiennement ce qui fait le gisement du sexisme ordinaire : condescendance, dénigrement, obstruction, exclusion, fausse courtoisie, 

blagues douteuses. A travers un certain nombre d’anecdotes prises sur le vif, l’auteur débusque avec passion mais aussi humour, ce qui entrave, blesse, contrarie ou bloque le comportement des femmes et les rend parfois impuissantes à réagir. Et elle propose une sorte de boîte à outils personnelle pour mener des opérations de résistance au quotidien. Le propos est ici celui de la connivence, de l’invitation au jeu si important de la négociation pour ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre, et pour aider à tracer son chemin face aux stéréotypes et à la guerre larvée de l’égalité.  

L’auteure renvoie à un site WWW.sexismeordinaire.com pour qu’hommes et femmes racontent leurs propres histoires vécues dans leur milieu de travail.  

L’AUTEUR 

Brigitte Grésy, énarque et agrégée de grammaire, a été directrice de cabinet de la ministre de l’égalité professionnelle et de la parité. Elle est actuellement inspectrice générale des affaires sociales, rapporteure de la commission sur l’image des femmes dans les médias et a remis en 

juillet dernier au ministre du travail un rapport sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.  

 

Osez le dialogue social dans l'entreprise

 

Faire du dialogue social un levier de la performance globale de l’entreprise en prenany en compte les attentes des salariés, c’est possible ! 

Qui a dit que le dialogue social était bloqué en France ? Tous les jours, dans des entreprises, même en temps de crise, dirigeants et syndicalistes discutent, négocient et trouvent des solutions nouvelles alliant performance globale de l’entreprise et prise en compte des attentes des salariés. 

Comment formaliser le dialogue social dans une PME en croissance ? 

Comment mettre en oeuvre l’accès des personnes handicapées à l’emploi ?

Comment anticiper les besoins de formation des salariés pour sécuriser leurs parcours professionnels et développer l’entreprise ?

Comment concilier droit des saisonniers et qualité du service touristique ? 

En neuf cas d’entreprises de tailles et de secteurs variés, cet ouvrage donne la preuve par l’exemple que le dialogue social est bénéfique pour les salariés comme pour la performance durable des entreprises. 

La parole y est donnée à des dirigeants et syndicalistes qui racontent sans fard les réalités de leur dialogue social. 

Les rédacteurs : 

Marie-Noëlle Auberger, consultante et rédactrice dans le domaine des relations sociales, de la gouvernance et de la responsabilité sociétale des entreprises.(www.gestionattentive.com). 

Nicolas Duffour, journaliste, conseil en communication, animateur de débats et colloques, présentateur d’IPSOS TV. 

Dominique-Anne Michel, journaliste, réalisatrice, conseil et formatrice en communication. Coordinatrice éditoriale de l’ouvrage. 

François Perrin, journaliste. 

Jean-Paul Guillot est docteur d’État es sciences économiques. Créateur, dirigeant et administrateur d’entreprises, il est président de Réalités 

du Dialogue Social (RDS), depuis 2005. 

Carmen Rubia est diplômée du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes. Directrice adjointe des relations extérieures du groupe Aprionis, elle est responsable du groupe de communication de RDS. 

L’association RDS réunit des entreprises, des structures publiques et l’ensemble des organisations patronales et syndicales représentatives au plan national. Lieu d’échanges ouvert, elle s’attache à promouvoir un dialogue social de qualité. 

 

(source : www.cfecgc.org) 

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