Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 14:39

Conditions-de-travail.jpg

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 15:23

Par arrêté du 3 novembre 2011 paru au JO du 17 Novembre 2011, Danièle KARNIEWICZ a été nommée Président de l’EN3S.

Notre Fédération se réjouit de cette nomination.

Partager cet article
Repost0
16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 08:44

Protection-sociale.jpg

Protection-sociale_0001.jpg

Protection-sociale_0002.jpg

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 23:37

PP66  10/11/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

( 01 55 30 12 12

www.cfecgc.org

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Service Communication

Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

La CFE-CGC salue l’important travail de négociations réalisé au cours de cette année 2011 qui a vu la signature d’un accord sur l’emploi des jeunes, la création d’un contrat de sécurisation professionnelle, une négociation sur l’alternance allant bien plus loin que la loi.


ll reste cependant deux points d’importance à traiter :
- Avancer sur la négociation sur le paritarisme, trouver les points de convergence, aller plus loin sur l’année 2012 ;
- Ouvrir une délibération sur la qualité de vie au travail. Il s’agit de répondre à une forte attente des salariés sachant que le bien-être au travail est aussi un élément de performance économique. Il est fondamental dans un contexte de crise.

 

Le dernier plan de rigueur du gouvernement n’est vraisemblablement pas le dernier. Le terme de faillite plane comme une épée de Damoclès sur chacun d’entre nous et le redressement est un défi à relever par tous.

 

La CFE-CGC est convaincue que le chemin de la croissance passe par la réindustrialisation et le développement des emplois locaux durables. Les partenaires sociaux ont à démontrer qu’ils en mesurent les enjeux, qu’ils en sont les acteurs.


Multiplier des annonces pour d’hypothétiques nouvelles négociations ne servirait à rien. La CFE-CGC n’engagera aucune négociation qui n’ait de réelles perspectives d’aboutissement. Elle demande que soit mis à profit le premier trimestre 2012  pour que les partenaires sociaux se rencontrent et travaillent à la résolution de la crise. La CFE-CGC propose à ses partenaires que soient planifiés des rendez-vous mensuels où seront abordées toutes les questions relatives à la croissance, la consommation, les dépenses publiques, les enjeux industriels.

Parce que l’entreprise et les salariés poursuivent le même objectif, le développement des entreprises et la pérennité des emplois, il est temps que les partenaires sociaux s’inscrivent dans une démarche commune et nouvelle : relever le défi de la relance économique et transcender les oppositions.

Quant au deuxième semestre 2012, la CFE-CGC propose les thèmes de réflexion et de négociation suivants :

- le financement de la protection sociale dans le cadre de la délibération économique en cours avec l’objectif de préserver le système par répartition ;
- le bilan de l’accord sur l’emploi des seniors compte tenu du recul de l’âge de départ à la retraite ;
- les clauses du contrat de travail ;
- le bilan d’étape professionnel .

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 14:30

      Préalablement à l’examen par l’Assemblée Nationale du budget de la Sécurité sociale, la Cour des Comptes effectue une étude des résultats de l’évolution de la protection sociale en France, de la gestion des organismes et élabore des recommandations à l’attention des élus.

Certes, ce rapport ne s’adresse pas aux salariés des organismes pourtant il serait intéressant pour eux qu’ils en prennent connaissance du moins de la partie se rapportant à leur activité, ils resteraient interloqués par le gouffre existant entre leur vécu au travail, leur implication quotidienne dans l’accomplissement des tâches  , au stress ressenti face à la charge de travail, à l’agressivité et aux menaces subies au quotidien par certains en raison de ressortissants mécontents et les constats, jugements, recommandations péremptoires prononcés par les membres de la Cour qui ignorent tout du vécu des acteurs.

Quelques exemples relevés dans la partie relative à la qualité de la gestion des caisses permettront d’illustrer le gouffre pouvant exister entre la vision des décideurs et le vécu des exécutants proches des réalités du quotidien des publics concernés.

On peut admettre qu’il y ait deux visions et deux approches différentes mais il est tout à fait inacceptable que le politique, le décideur, soit ainsi tenu coupé, éloigné finalement aveugle sur la réalité du vécu d’une partie de la société dont la prise en considération serait tellement nécessaire à une bonne gouvernance.

La Cour relève que :

La gestion des caisses ne représente que 3 % des dépenses totales qui atteignent 10 Md€ ;

En 5 ans des gains de productivité non négligeables ont été réalisés toutefois ces gains sont souvent en deçà de ce qui aurait pu être obtenu ;

Pourtant dans la branche vieillesse le coût unitaire  global s’est réduit entre 2005 et 2008 de – 20 %, dans la branche maladie le coût du « BAP » a diminué de – 11,6 % sur la même période, dans le recouvrement le coût unitaire d’un compte actif a diminué de – 4,9% entre  2006 et 2009, dans la branche famille le coût par allocataire pondéré a diminué entre 2005 et 2009 de – 2,3 % ;

Corrélativement, les effectifs ont diminué !

La baisse des effectifs du régime général est la plus importante dans la branche maladie, principalement sur le pôle production ou le nombre d’ETP (emploi temps plein) a diminué de 6000 unités depuis 2005, ce qui a représenté un taux de remplacement de départ en retraite de moins de 50 %, ce taux devant atteindre 55 % à échéance de 2013, contre 70 % pour la vieillesse et plus de 90 % dans le recouvrement et la famille mais il ne faut pas se réjouir pour autant puisque l’on peut mieux faire, en effet, l’IGAS estime qu’une économie de 12 000 emplois (ETP) est possible à terme dans la branche maladie par alignement du réseau sur le ratio d’activité par emploi des meilleures caisses.

A titre de simple comparaison, on peut s’interroger sur les résultats obtenus dans la fonction publique territoriale ?

MAIS A LA SECURITE SOCIALE CE N’EST PAS ASSEZ SELON LA COUR

 

Il y a nécessité de systématiser l’effort en matière de productivité

La grande affaire de la Cour est de faire tomber les rigidités dans la gestion des RH. Pour cela, il faut s’attaquer à cet accord scélérat de 2006 relatif aux garanties conventionnelles dans le cadre de l’évolution des réseaux, ou il n’y a pas de mobilité imposée et cela malgré le statut de droit privé du personnel de la sécurité sociale.

Cette situation est curieusement comparée à celle de l’éducation nationale ou chaque année en vertu de la carte scolaire 4000 enseignants du second degré font l’objet d’une mutation soit environ 10 à 14 %, sachant que l’ensemble des mutations à pour origine les modalités retenues pour l’affectation des jeunes enseignants, à 600 ou 800 kms de leur domicile et qui, ensuite, chaque année demande une mutation pour se rapprocher de leur base familiale, cela pouvant durer quatre à cinq ans.

A vouloir trop prouver, la Cour prend un bien mauvais exemple. En étant plus éclectique  la Cour aurait présent en mémoire que pour plus d’un salarié sur deux, ne pas avoir à déménager est un critère très important dans le choix d’un nouvel emploi !

Mais il ne faut pas perdre de vue que cette attaque en règle contre l’absence de mobilité vise principalement les cadres dirigeants et surtout la quasi impossibilité pour les caisses nationales de mettre fin aux fonctions des directeurs et agents comptables pour des raisons autres que disciplinaires et de lutter contre la longueur des mandats.

Même si des mandats de directeur peuvent être estimés trop longs ce n’est pas ipso facto une source de mauvaise gestion.

Mais sur ces derniers points la Cour a été entendue puisque le rapport commandé par le Ministre du travail à Mme A. MOREL met en branle le chantier pour à terme permettre aux caisses nationales d’avoir toute latitude pour imposer les mobilités.

A ce propos, même si ce n’est pas l’objet principale de notre réflexion, disons cependant : « attention à l’effet de balancier ». Il n’est pas souhaitable d’aller chercher de soit disant bonnes solutions dans la fonction publique d’Etat ou les contre exemples sont nombreux. Entre inamovibilité et valse des titulaires, il faudra trouver la bonne mesure et surtout éviter que selon les « humeurs » des directeurs des caisses nationales, décidant sans contre pouvoirs, on porte gravement atteinte à des climats de confiance qui le plus souvent s’instaurent dans les équipes des caisses.

Certes, la Cour vise principalement les cadres dirigeants, c’est clair, il faut :

« Renforcer l’intervention des caisses nationales dans la sanction des directeurs et agents comptables, mais n’entend pas s’arrêter là car c’est l’ensemble du personnel qui doit entrer dans la danse.

Pour cela, il convient :

« d’anticiper et de préparer une renégociation de l’accord relatif aux garanties conventionnelles apportées dans le cadre de l’évolution des réseaux aux fins d’une plus grande fluidité des parcours professionnels des agents ».

 

AUTRE PRIORITE DE LA COUR

UN MAILLAGE ENCORE TROP FIN

 

Après avoir connu des décennies où il fallait aller à la rencontre de l’usager, changement de cap.

« Des fusions aux conséquences pratiques limitées » estime la Cour.

Indiquons qu’au 1er janvier 2010, 48 CPAM ont fusionnées, au 30 décembre 2011 les CAF seraient départementalisées et il convient d’ajouter que d’ici 2013 les URSSAF seront régionalisées, avec pour conséquence la suppression de 100 postes d’agents de direction, dans l’immédiat on ne connaît pas l’impact sur le personnel d’encadrement.

Concernant la branche du recouvrement, la Cour insiste en soulignant que la régionalisation du réseau fera coexister des instances départementales et régionales donc, semble-t’il, inutilement. Ce n’est pas tout à fait le sens du projet mais qu’importe.

On poursuit la logique trop de structures, trop de dépenses et bien sûr trop de personnel.

Pourtant, les points d’accueil ont diminué de façons significatives, entre 2005 et 2009, 1200 en assurance maladie, 255 dans la famille et 446 dans la vieillesse.

 

LA COUR A ENFIN RECOURS A L’ARME ABSOLUE

SIMPLIFIER PRIORITAIREMENT LES REGLES

 

La Cour recommande la simplification administrative comme devant être un chantier prioritaire, cela afin que la dématérialisation et la mutualisation produisent leur plein effet. Seule solution éviter au moment de l’élaboration des textes la complexité législative et réglementaire.

Comment la Cour ose formuler un tel vœu, nécessairement pieux. En effet, tous les colloques, les groupes de réflexions ont conclu leurs travaux depuis des décennies sur cette exhortation : la simplification administrative, source d’efficacité, de productivité, d’amélioration non seulement du travail, des acteurs mais aussi des relations avec les usagers à même de mieux comprendre leur situation.

Mais on peut affirmer sans crainte d’être démenti que ce n’est jamais une préoccupation du politique, ni celle des administrations centrales.

Personnel des organismes n’attendez aucun miracle dans ce domaine pour faciliter votre tâche et votre confort au travail.

C’est ainsi que nous avons tenté  de décrire comment la façon de servir du personnel des caisses et organismes était analysée et jugée par la Cour des comptes.

Mais nous quelle perception avons- nous de tout cela ?

 Qu’avons-nous à dire de ces constats, conclusions, recommandations élaborés par la Cour à l’attention des élus de la Nation mais nous concernant dans notre action au quotidien.

Que pouvons-nous retenir de tout cela ?

-Nous sommes trop nombreux et donc insuffisamment efficaces ;

- Les usagers pourraient s’attendre à un service de meilleure qualité ;

- Nous sommes des privilégiés à qui on n’impose pas, contre notre gré, une mobilité professionnelle alors que nous avons un « statut » de droit privé ;

  - Nous avons accompli nos tâches en pleine évolution des structures et de réduction des effectifs ;

- Nous avons pallié, de notre mieux, à l’impréparation fautive des travaux résultant de la mise en œuvre du RSA et de l’ISU.

Nous pouvons retenir que ces salariés qui s’impliquent au quotidien pour servir le mieux possible l’usager sont des inconnus.

Cet « inconnu » qui participe en première ligne aux gains de productivité, n’en perçoit jamais le bénéfice, malgré les promesses en matière salariale faite par la direction de la Sécurité sociale (il convient de le rappeler ici).

Cet inconnu participe aux changements résultant des évolutions de structures, sans que l’on prenne le soin de lui expliquer les finalités.

Cet inconnu a, certes, le sentiment diffus et angoissé que ces bouleversements porteront atteinte à ses perspectives de carrière, mais qui  s’en préoccupe.

Alors à lire les constats péremptoires et déshumanisés effectués par la Cour des Comptes à l’attention des décideurs, les agents et les cadres ne peuvent que ressentir un profond découragement.

Mais pourquoi s’intéresser à cette absence de reconnaissance puisque les allocations familiales, les pensions, les rentes sont toujours payées sans retard !!!

Michel PILLOT

Président d'honneur de la Fédération Nationale de l’Encadrement des Organismes de Sécurité Sociale, Allocations Familiales et Assimilés


 

 

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 12:37

CONSULTATION CFE-CGC : VOUS AVEZ LA PAROLE

La parole aux citoyens : redonnons du sens ensemble. Dans un contexte de crise économique et sociale, de perte de confiance dans les institutions, de délitement du lien social et des valeurs collectives et de repli sur des logiques individuelles, la confédération CFE-CGC, en partenariat avec l'Observatoire du Dialogue et de l'Intelligence Sociale, veut vous donner la parole pour Redonner du Sens à l’Entreprise et la Société en s’engageant dans une grande démarche consultation. CLIQUEZ ICI POUR [...]

 

» Répondre au questionnaire

Partager cet article
Repost0
8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 12:32

PP65  07/11/2011

 

 

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

( 01 55 30 12 12

www.cfecgc.org

 

 

 

 

 

Service Communication

Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

Ce sont toujours les mêmes qui payent l'addition : les salariés et notamment les classes moyennes.

 

La CFE-CGC a découvert les mesures d'austérité du gouvernement en direct. Elle, CFE-CGC, déplore que le gouvernement réfléchisse à des mesures de rigueur sans réelle consultation des partenaires sociaux : Quel beau dialogue social en France !

 

Les classes moyennes sont aujourd'hui au bord de l'asphyxie : trop de prélèvements, une fiscalité très haute, un "reste pour vivre" rogné en permanence...

 

La CFE-CGC dénonce la méthode et les choix arbitrés unilatéralement par le gouvernement. La classe moyenne refuse de faire les frais des largesses passées en tous genres. D'accord pour faire un effort mais celui-ci doit être équitablement réparti ! Les rustines annoncées aujourd'hui par le gouvernement démontrent une absence de vision, d'anticipation, d'échange avec les partenaires sociaux...

 

La question vitale à laquelle ne répondent pas les propositions du gouvernement est : comment relancer la croissance de notre pays afin de recréer de l'emploi local et durable et, in fine, de redonner du pouvoir d'achat à chacune et chacun ?

 

La CFE-CGC, force de propositions, demande notamment la mise en place d'une cotisation sociale sur la consommation pour financer de façon pérenne notre système de protection sociale, activer la ré-industrialisation et, enfin, redonner des perspectives aux salariés !

 

Face aux conditions de rigueur annoncées ce jour, la CFE-CGC dit stop !

 

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2011 6 05 /11 /novembre /2011 13:06

PP63  03/11/2011

 

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

( 01 55 30 12 12

www.cfecgc.org

 

 

 


Service Communication

Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

Depuis plus de 20 ans, la présidence de la CNAV est assumée par la CFE-CGC sur le fondement d’un équilibre des rôles entre partenaires sociaux au niveau des principales caisses de Sécurité sociale, ainsi que des caisses complémentaires Arrco et Agirc.

 

Les tractations menées entre le patronat et les signataires de l’accord Agirc-Arrco du 18 mars 2011 (CFDT, FO et CFTC) mettent fin à cet équilibre.

 

Les signataires se sont assurés du soutien du patronat pour se répartir les présidences de la CNAF pour la CFTC, de l’AGIRC pour la CFDT et de la CNAV pour FO. La contrepartie est limpide de la part de ce trio complice : c’est de se soumettre à l’exigence des employeurs visant à ne pas augmenter les cotisations, et à avaliser, après l’avoir violemment combattu, le report de l’âge de la retraite à 62 et 67 ans.

 

C’est dans ce contexte que FO veut s’offrir la présidence de la CNAV, le 04 novembre avec le soutien  ambigu mais non moins tactique du patronat, et le soutien intéressé de la CFDT et de la CFTC, et sans doute sous l’œil amusé du gouvernement qui par ce jeu de chaises musicales a réussi à leur vendre sa réforme des retraites de 2010.

 

La CFE-CGC ne soutiendra pas la collusion annoncée. Nous donnons la priorité à la défense des intérêts des salariés et des retraités et, fidèles à nos valeurs, nous refusons de cautionner ces petits arrangements de circonstance.

 

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2011 6 05 /11 /novembre /2011 13:04

PP64  04/11/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

( 01 55 30 12 12

www.cfecgc.org

 

 

 

 

 

 

 

 


 

Service Communication

Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

Depuis trois jours maintenant, la CFE-CGC participe au L20 (Labour 20) qui se tient dans le cadre du G20 à Cannes.

 

Paradoxe du L20, il s'est tenu au casino Palm Beach de Cannes avec l’objectif de mettre un terme à la roulette, jeu favori de bon nombre de financiers ! Et pour lesquels, in fine, ce sont nous, contribuables, qui remboursons !

 

Dans un contexte de crise financière, économique et sociale mondiale, ces dérives et excès de quelques financiers irresponsables ne sont plus acceptables.

 

Pour la CFE-CGC, il est urgent de revenir aux fondamentaux de la finance qui sont d'aider les TPE, les PME/PMI et les grands groupes à se développer.

 

La CFE-CGC demande donc la mise en place d'une taxe sur le flash trading au niveau mondial. Il s'agit de taxer toutes ces transactions purement spéculatives qui vont de quelques nanosecondes à une journée. (Cela implique la fin des centres de finance offshore, des paradis fiscaux et du secret bancaire au niveau mondial).

 

L'objectif étant avec ce type de taxe, de remettre la finance au service de l'économie réelle et de permettre ainsi à toutes nos entreprises en France de retrouver enfin des financeurs qui les accompagnent dans leur création, dans leur croissance, dans la création d'emplois locaux et durables et ainsi au final dans le développement du pouvoir d'achat de chacune et chacun.

 

Il est temps, si nous voulons sortir de la crise, de remettre l'économie réelle au cœur de toutes les décisions de nos politiques et d'arrêter de se faire mener par le bout du nez par le tout financier !

 

La CFE-CGC refusera tous nouveaux prélèvements, toute augmentation de la TVA, toute suppression de niche fiscale, tant que les transactions financières mondiales purement spéculatives ne seront pas taxées.

Partager cet article
Repost0
3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 14:21

PP61  03/11/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

( 01 55 30 12 12

www.cfecgc.org

 

 

 

 

 

 

 


Service Communication

Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

Dans un contexte de crise économique, financière et sociale mondiale sans précédent avec en toile de fond la crise grecque, le G20 peine à prendre des mesures pour réglementer la finance mondiale !

 

Il est plus difficile de s'attaquer à ce puissant lobbying qu'est le secteur financier que de s'attaquer aux classes moyennes que nous sommes !

 

La CFE-CGC dit stop ! Remettons chacun à sa place, chacun en responsabilité.

 

La classe moyenne croule sous les prélèvements en tous genres et est au bord de l'asphyxie. Nous contribuons par notre travail, nos qualifications et l'ensemble des prélèvements qui pèsent sur nous à la richesse nationale. Nous n'entendons pas combler des puits sans fonds, nous voulons que notre engagement serve à alimenter une croissance créatrice d'emplois.

 

La CFE-CGC refusera tout nouveau prélèvement, toute hausse de la TVA, toute suppression des niches fiscales bénéficiant à la classe moyenne tant que le secteur de la finance ne sera pas taxé sur toutes ses transactions purement spéculatives qui vont de quelques nanosecondes à une journée.

 

Arrêtons d'être les vaches à lait ! Que vous soyez techniciens, agents de maîtrise, cadres, fonctionnaires, ingénieurs, cadres supérieurs ou dirigeants, si vous avez envie d'agir et de ne plus subir, alors rejoignez la CFE-CGC ; ensemble faisons entendre votre voix !

 

La CFE-CGC attend des mesures concrètes afin de redonner des perspectives, de l'espoir par des créations d'emplois locaux et durables en France, mais aussi par le soutien du pouvoir d'achat.

 

Aujourd'hui c'est la consommation des ménages qui soutient la croissance française. Touchez au pouvoir d'achat des classes moyennes, et le château de cartes de la croissance s'effondrera totalement en France.

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de cfecgc.urssafnordpasdecalais
  • : (2ème blog, voir rubrique liens utiles : http://cfecgc.urssafnordpasdecalais.over-blog.com)
  • Contact

Présentation de livres

Le stress des cadres, Bernard Salengro

Cet ouvrage propose des témoignages suivis d'explications et d'analyses donnant des clés pour la compréhension et la prévention des pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises. Les professionnels et membres d'encadrement sont d'autant plus concernés qu'ils sont les plus touchés.  Les entreprises sortiront gagnantes d'une prise en compte de ce phénomène à sa juste réalité en ne pratiquant plus le déni.

Le management par la manipulation mentale
, Bernard Salengro, L'Harmattan, 2006

Bernard Salengro met dans son second ouvrage, l'accent sur des situations vécues comme des manipulations. Par leur sincérité et l'analyse que Bernard Salengro a pu en faire à la lumière des derniers travaux de psychologie, les témoignages poignants publiés dans cet ouvrage donnent de précieuses clés pour la compréhension et la prévention de pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises.

Journal d'un médecin du travail,
 Dorothée Ramaut, édition Le Cherche midi, 2006

Présentation de l'éditeur :
Un adage affirme : " le travail c'est la santé ".  
Réalité ? Peut-être pas. Il s'agit même pour certains d'une véritable torture morale. Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut pendant six ans est un témoignage unique de la détresse et la souffrance psychologique des salariés d'une grande surface. Elle y dénonce un harcèlement " stratégique " et systématique appliqué à l'ensemble de la hiérarchie. Le docteur Ramaut est le premier médecin du travail à rompre le silence trop longtemps gardé sur ces méthodes " contraires aux droits de l'homme ".

Stupeur et tremblements
, d'Amélie Nothomb (roman), Le Livre de poche, 2001

Employée comme interprète au sein d'une entreprise japonaise, l'héroïne se retrouve, après plusieurs incidents, rétrogradée au simple rang de "nettoyeuse de chiottes". Description d'un monde du travail très particulier...

Harcèlement moral dans la vie professionnelle, 
 Marie-France Hirigoyen, Pocket, 2002

Le harcèlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient. Le succès du premier ouvrage de Marie-France Hirigoyen, paru en 1998, démontre que chacun d'entre nous est un pour l'acteur ou le témoin de ce phénomène social dont on ignorait jusque-là l'ampleur. Depuis, les témoignages se sont accumulés, de multiples affaires ont éclaté, dans le public ou le privé, un débat permanent s'est instauré dans les médias entre psychologues, chefs d'entreprise, syndicalistes, parties prenantes de ce fléau ordinaire. Riche de quatre années d'expériences et de réflexions nouvelles, Marie-France Hirigoyen, dans ce second ouvrage paru sous le titre original "Malaise dans le travail, harcèlement moral - Démêler le vrai du faux", affine son analyse, poursuit son combat, afin de mieux comprendre et prévenir.

Le harcèlement moral au travail,
 Philippe Ravisy, édition Dalloz-Sirey

Face noire du monde du travail, ce mal n'épargne personne : cadres, employés, fonctionnaires...
De silences en sous-entendus, de brimades en vexations, de déstabilisations en humiliations, le harcèlement s'installe. Aller au travail devient un enfer. La dépression succède à l'incompréhension. Le législateur est heureusement intervenu pour combattre ce fléau avec la mise en place d'un " dispositif anti-harcèlement " : d'un côté, la loi interdit, sanctionne et prévient ; de l'autre, elle protège et facilite la preuve.
L'apport des toutes dernières décisions de justice est aussi essentiel pour déterminer et mettre en cause les responsabilités de chacun, en particulier celle de l'employeur. Philippe Ravisy, l'un des tous premiers avocats à s'être préoccupé du sort des victimes, explique dans ce livre comment faire pour s'en sortir et obtenir réparation. Précis, complet, accessible à tous, il permet de trouver sa solution et de la mettre en œuvre.
 
La persécution au travail, de Heinz Leymann

Ce livre - best-seller en Allemagne et dans les pays nordiques, publié une première fois en France sous le titre « Mobbing » révèle l'étendue d'un vaste fléau. De nombreux salariés sont, sans raison valable, victimes de leurs collègues, de leurs supérieurs hiérarchiques, parfois même de leurs subordonnés coalisés contre eux: on les harcèle, on les met en quarantaine, on les humilie, on tente de les briser par tous les moyens. 
Comment identifier la persécution professionnelle? Comment la combattre? Quels sont les recours dont dispose le salarié? En répondant à ces questions, H. Leymann en appelle à la constitution concrète d'une véritable éthique professionnelle. 

L'open space m'a tuer,  Alexandre des Isnards et Thomas Zuber 
 
Le livre met en scène des tranches de vie en racontant le quotidien pas toujours glorieux des jeunes cadres des années 2000. Fini le jeune ambitieux des années 1980. Le trentenaire d'aujourd'hui prend ses RTT, ses congés, et pense que la vraie vie est ailleurs. Réussir sa vie et sa carrière semblent devenus deux objectifs antinomiques. 
Les nouvelles méthodes de management sont peut-être alléchantes sur le papier, mais carbonisent vite les jeunes recrues qui, passée l'ivresse des premiers mois s'éloignent de l'entreprise. Malaises vagaux sur le lieu de travail, dépendance médicamenteuse, dépression, départ du jour au lendemain de jeunes bardés de diplômes pour une ONG humanitaire : les jeunes cadres dynamitent. Jusqu'à présent, ils continuaient à faire bonne figure. Avec ce livre, ils décident enfin d'ôter le masque.

Petit traité contre le sexisme ordinaire de Brigitte GRESY
LE LIVRE 

Entrons en résistance ordinaire contre le sexisme ordinaire ! 

Ce que l’auteur nomme « sexisme ordinaire » ne relève ni de la discrimination ni de l’inégalité avérée pour lesquelles il existe des lois. Il s’agit de tous ces petits signes de la vie de tous les jours, ces minuscules blessures, mots et signes de condescendance, de rejet, de paternalisme qui infantilisent souvent les femmes sans qu’elles sachent comment y faire face.  

Dans les relations de travail, entre collègues, face aux cadres dirigeants ou quand elle est supérieure hiérarchique, une femme rencontre quotidiennement ce qui fait le gisement du sexisme ordinaire : condescendance, dénigrement, obstruction, exclusion, fausse courtoisie, 

blagues douteuses. A travers un certain nombre d’anecdotes prises sur le vif, l’auteur débusque avec passion mais aussi humour, ce qui entrave, blesse, contrarie ou bloque le comportement des femmes et les rend parfois impuissantes à réagir. Et elle propose une sorte de boîte à outils personnelle pour mener des opérations de résistance au quotidien. Le propos est ici celui de la connivence, de l’invitation au jeu si important de la négociation pour ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre, et pour aider à tracer son chemin face aux stéréotypes et à la guerre larvée de l’égalité.  

L’auteure renvoie à un site WWW.sexismeordinaire.com pour qu’hommes et femmes racontent leurs propres histoires vécues dans leur milieu de travail.  

L’AUTEUR 

Brigitte Grésy, énarque et agrégée de grammaire, a été directrice de cabinet de la ministre de l’égalité professionnelle et de la parité. Elle est actuellement inspectrice générale des affaires sociales, rapporteure de la commission sur l’image des femmes dans les médias et a remis en 

juillet dernier au ministre du travail un rapport sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.  

 

Osez le dialogue social dans l'entreprise

 

Faire du dialogue social un levier de la performance globale de l’entreprise en prenany en compte les attentes des salariés, c’est possible ! 

Qui a dit que le dialogue social était bloqué en France ? Tous les jours, dans des entreprises, même en temps de crise, dirigeants et syndicalistes discutent, négocient et trouvent des solutions nouvelles alliant performance globale de l’entreprise et prise en compte des attentes des salariés. 

Comment formaliser le dialogue social dans une PME en croissance ? 

Comment mettre en oeuvre l’accès des personnes handicapées à l’emploi ?

Comment anticiper les besoins de formation des salariés pour sécuriser leurs parcours professionnels et développer l’entreprise ?

Comment concilier droit des saisonniers et qualité du service touristique ? 

En neuf cas d’entreprises de tailles et de secteurs variés, cet ouvrage donne la preuve par l’exemple que le dialogue social est bénéfique pour les salariés comme pour la performance durable des entreprises. 

La parole y est donnée à des dirigeants et syndicalistes qui racontent sans fard les réalités de leur dialogue social. 

Les rédacteurs : 

Marie-Noëlle Auberger, consultante et rédactrice dans le domaine des relations sociales, de la gouvernance et de la responsabilité sociétale des entreprises.(www.gestionattentive.com). 

Nicolas Duffour, journaliste, conseil en communication, animateur de débats et colloques, présentateur d’IPSOS TV. 

Dominique-Anne Michel, journaliste, réalisatrice, conseil et formatrice en communication. Coordinatrice éditoriale de l’ouvrage. 

François Perrin, journaliste. 

Jean-Paul Guillot est docteur d’État es sciences économiques. Créateur, dirigeant et administrateur d’entreprises, il est président de Réalités 

du Dialogue Social (RDS), depuis 2005. 

Carmen Rubia est diplômée du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes. Directrice adjointe des relations extérieures du groupe Aprionis, elle est responsable du groupe de communication de RDS. 

L’association RDS réunit des entreprises, des structures publiques et l’ensemble des organisations patronales et syndicales représentatives au plan national. Lieu d’échanges ouvert, elle s’attache à promouvoir un dialogue social de qualité. 

 

(source : www.cfecgc.org) 

Recherche