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21 novembre 2017 2 21 /11 /novembre /2017 11:25
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10 octobre 2017 2 10 /10 /octobre /2017 09:58

 

L'ensemble des Organisations Syndicales des Fonctions Publiques ont unanimement décidé de manifester contre les décisions par ordonnances du gouvernement. Votre soutien massif ne pourra que renforcer leurs légitimes revendications.  

 

Je vous invite à rejoindre la manifestation qui démarrera à 14 heures porte de Paris à Lille.

 

Le responsable sécurité pour la CFE-CGC est Philippe GANTOIS  : philippegantois@hotmail.fr Tél : 06 63 43 86 40

 

Bien à vous,

 

Raymond ANNALORO

Président de l'Union Régionale CFE-CGC Hauts de France.

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9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 18:05

 

Alors que les ordonnances réformant le Code du travail sont désormais connues, François Hommeril, président de la CFE-CGC,
nous explique la position de la Confédération face à ce choc social. 
Et, Gérard Mardiné, secrétaire national, nous dit pourquoi la réforme du Code du travail n'aura pas d'incidence sur l'emploi.

 

 

 

https://youtu.be/u17xyFDeYwI

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26 septembre 2017 2 26 /09 /septembre /2017 13:11

25/09/2017 • Toutes les actualités

Délibération du comité directeur de la CFE-CGC du 25 septembre 2017

Réuni ce jour, le 25 septembre 2017, le comité directeur de la CFE-CGC adopte la délibération suivante : les ordonnances travail font peser un risque grave sur la situation des salariés.

Elles facilitent la précarisation et la destruction des emplois et créent les conditions de la dégradation des conditions de travail. Par son déséquilibre en faveur d’une flexibilité incontrôlée, cette loi marque un recul sans précédent qui n’aura aucun impact positif sur l’emploi et l’économie.

La surdité du gouvernement est alarmante et augure mal de la suite des évènements.

Refusant de rester passive sauf à se sentir complice de la dégradation de la situation, la CFE-CGC appelle à un mouvement unitaire et invite l’ensemble des centrales syndicales à réagir selon des modalités dont elles définiront ensemble la nature et la date.

Contact Presse et Institutions :
Pierre Jan : 01 55 30 12 92 - 06 32 05 69 02 / 
pierre.jan@cfecgc.fr

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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 09:21

Veuillez trouver ci-joint le nouveau numéro du Bulletin confédéral, votre lettre d’information bimensuelle. Un numéro de rentrée relooké avec un code couleur spécifique pour chacune des rubriques. 

Vous pouvez également consulter ce numéro via ce lien : 

http://www.cfecgc.org/content/externals/docs.php?action=open&id=1899

Outre les rubriques habituelles (L’info militante, Focus, Prospectives, Tendances, Agenda, etc.), vous trouverez dans ce n° 32 les suppléments « Regards Economiques », « Regards Durables » et « Regards Protection sociale ».
Des informations proposées par le secteur Économie et protection sociale de la Confédération.

Dorénavant, l’ensemble des publications thématiques « Regards » (Économiques, Emplois, Protection sociale, Logement…) seront intégrées au Bulletin confédéral. 

Vous pouvez par ailleurs retrouver l’intégralité des numéros du Bulletin confédéral et des différents « Regards » thématiques sur l’Intranet confédéral. 
Service Communication CFE-CGC

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11 septembre 2017 1 11 /09 /septembre /2017 17:44

05/09/2017 • Toutes les actualités

 

Rendu public le jeudi 31 août, le contenu détaillé des ordonnances confirme les pires craintes que l’on pouvait avoir sur l’ampleur et la violence de l’attaque du gouvernement contre le droit du travail.

Au-delà de ce qui était connu ou attendu, la CFE-CGC continue d’examiner point par point ce que révèle ce texte de 160 pages, en s’interrogeant sur la logique qui consiste à prétendre soutenir l’emploi en renforçant les moyens de le détruire. Clarifiant ses intentions, le gouvernement assouplit partout les règles relatives au licenciement qu’il soit individuel ou collectif, de nature économique ou non. Pire : il renvoie à la charge du salarié le moyen de garantir ses droits contre les abus.

La fusion forcée des instances représentatives du personnel contre la volonté des acteurs de l’entreprise et les moyens entravés du recours à l’expertise symbolisent, pour la CFE-CGC, l’aveu ultime de la vraie cible poursuivie par le projet de loi : l’affaiblissement des corps intermédiaires.

Des avancées sur la reconnaissance de la discrimination syndicale, la prise en compte des parcours syndicaux ou encore l’accès au télétravail n’équilibrent en rien la perspective de diminution des moyens donnés pour un dialogue social constructif et durable.

La CFE-CGC ne s’associe pas au mouvement du 12 septembre initié unilatéralement avant l’été. Elle appelle l’ensemble des organisations syndicales à se rapprocher pour partager leurs évaluations sur les risques que ce projet de loi fait peser sur les salariés et sur l’économie. C’est dans ce cadre que le comité directeur confédéral de la CFE-CGC a réaffirmé la nécessité de travailler ensemble à des moyens d’action et de communication unitaires, au-delà des spécificités que chacun reflète de la diversité et de la force de notre modèle social.

La CFE-CGC est en prise permanente avec la « réalité de terrain » que le gouvernement nous objecte à l’appui de son projet. C’est l’ensemble des sections syndicales CFE-CGC qui témoignent de la difficulté du quotidien et des craintes pour l’avenir. C’est avec ses sections syndicales, avec ses fédérations rassemblées, que la CFE-CGC continuera son devoir d’informer l’opinion sur les risques de désordre social que fait peser ce projet de loi. C’est dans les entreprises que la CFE-CGC poursuivra son développement pour soutenir et défendre les intérêts des salariés qui restent la première richesse de l’entreprise.

La volonté de la CFE-CGC de participer au dialogue qui anticipe et accompagne toute réforme ne faiblit pas. Et nous saurons, comme toujours, répondre présents à toute sollicitation du gouvernement pour travailler à construire et mettre œuvre les réformes dont notre pays a besoin. La CFE-CGC est aujourd’hui telle qu’elle a toujours été : libre et indépendante, critique et constructive, réaliste et inventive.

Pierre Jean - Relations Presse et institutionnelles
Tél. : 01 55 30 12 92 / 06 32 05 69 02
pierre.jan@cfecgc.fr 

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14 août 2017 1 14 /08 /août /2017 15:59

Madame, Monsieur le Président,

Madame, Monsieur le Secrétaire général,

 

Je vous informe que l’avenant portant prorogation du protocole d'accord relatif au travail à distance conclu le 21 juin 2017,  a été agréé par le Ministère le 18 juillet 2017.

  

Je vous en souhaite bonne réception, et vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le Président, Madame, Monsieur le Secrétaire général, l'expression de ma considération distinguée.

 

LE DIRECTEUR DE L'UCANSS

relationssociales@ucanss.fr

 

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14 août 2017 1 14 /08 /août /2017 15:51
Une réunion de l’Instance nationale de Concertation s'est tenue le vendredi 30 juin 2017 à 14 heures dans les locaux de l'UCANSS.

 

Cette séance a été consacrée à la branche Recouvrement et a porté sur le thème suivant :

 

Transformation de la DSI de la Branche Recouvrement

 

 Le compte rendu de la réunion sera disponible ultérieurement.

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14 août 2017 1 14 /08 /août /2017 15:46

La CFE-CGC entend soutenir l’encadrement , acteur majeur de l’organisation et de l’utilisation du télétravail, dans la mise en œuvre de ce mode d’organisation du travail.

Trouver un équilibre entre souplesse dans l’organisation de son travail et nécessité de sauvegarder un collectif de travail, est un impératif qui nourrit la philosophie de la CFE-CGC sur le télétravail.

La CFE-CGC affirme que des évolutions sont nécessaires sur la définition du télétravail, sur la mesure de la charge mentale de travail, ainsi que sur la formation des acteurs et l’organisation que cela sous-tend.

Plus particulièrement, il est indispensable d’accompagner l’encadrement de proximité dans la mise en place opérationnelle du télétravail (maintient d’un collectif de travail, management à distance, …), afin qu’il puisse assumer son rôle de responsable hiérarchique et d’animation.

Par ailleurs, la CFE-CGC ne transige pas avec la santé des salariés et s’oppose au fractionnement des temps de repos. Elle propose de négocier une plage de travail élargie qui permette le fractionnement du temps de travail. 

Pour toutes ces raisons, la CFE-CGC porte plus particulièrement les préconisations suivantes issues de la concertation :
-   La clarification de règles juridiques applicables au télétravail,
-   L’articulation entre télétravail régulier et occasionnel,
-   L’organisation du temps de travail,
-   L’impact sur l’encadrement de proximité, et la nécessité de relations basées sur la confiance.
 

Au-delà de ces éléments qui ont fait consensus durant la concertation, la CFE-CGC propose dans le document de synthèse« Télétravail, s’organiser autrement »,  ses positionnements.   

La CFE-CGC réitère par ailleurs son souhait de voir s’ouvrir une négociation interprofessionnelle sur le télétravail, qui n’est qu’une marque visible de l’évolution numérique de notre économie sur notre façon de travailler.
 
 
 
 
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14 août 2017 1 14 /08 /août /2017 15:41
 
La HAS vient de sortir une analyse du burn-out remarquable par sa méconnaissance du problème !
Le concept du burn-out aurait deux défauts principaux :
  • Ce n’est pas une maladie spécifique avec un marqueur biologique spécifique, c’est un syndrome,
  • Il existe des facteurs personnels qui peuvent influer sur son apparition.
Pour la CFE-CGC ces deux arguments sont irrecevables, en effet :
  • La première maladie professionnelle au tableau est un syndrome : anémie, colique au plomb, pathologies neurologiques et maladies rénales…
  • Les facteurs personnels existent pour un grand nombre de pathologies professionnelles.
Mettre en avant les facteurs personnels c’est faire un pas vers la déconstruction du principe de la présomption d’origine : un cancer chez un travailleur de l’amiante pourrait être dû au tabac…
Demain, comme pour le burn-out, les salariés devront apporter la preuve que leur pathologie professionnelle est essentiellement due au travail.
Le burn-out existe, nous l’avons rencontré, il fait le lit des arrêts de travail longue durée et des reconnaissances en invalidité maladie (financées par la collectivité) mais aussi de l’inaptitude et de la perte d’emploi.
Curieusement le gouvernement belge l’a introduit dans son Code du travail, il existerait donc mais uniquement chez nos voisins… ?
Inscrire le burn-out sur le tableau des maladies professionnelles est une nécessité pour des raisons essentielles :
  • C’est rendre justice aux victimes,
  • C’est faire assumer le coût aux entreprises qui le génèrent. Les pathologies psychiques liées au travail coûtent 617 milliards d'euros aux européens,
  • C’est faire gagner de la compétitivité aux entreprises : 13 euros de retour d’investissement pour chaque euro investi dans la prévention des risques psychosociaux (rapport EU-OSHA),
  • C’est obliger les entreprises à s’attaquer enfin à la prévention de l’épuisement professionnel. Elles s’abritent pour l’instant sous le parapluie des facteurs personnels tendu par la HAS et offrent gracieusement à leurs salariés des séances d’ostéopathie... La surcharge de travail, les horaires à rallonge des forfait-jours, le ranking... Sous le tapis de l’Assurance maladie !!!!
Pour la CFE-CGC la priorité n’est pas de panser les plaies mais de prendre, enfin des mesures de prévention du burn-out.
 
 
 
Pierre Jan - Relations Presse et institutionnelles
 E-Mail : pierre.jan@cfecgc.fr 
 
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Présentation

  • : Le blog de cfecgc.urssafnordpasdecalais
  • : (2ème blog, voir rubrique liens utiles : http://cfecgc.urssafnordpasdecalais.over-blog.com)
  • Contact

Présentation de livres

Le stress des cadres, Bernard Salengro

Cet ouvrage propose des témoignages suivis d'explications et d'analyses donnant des clés pour la compréhension et la prévention des pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises. Les professionnels et membres d'encadrement sont d'autant plus concernés qu'ils sont les plus touchés.  Les entreprises sortiront gagnantes d'une prise en compte de ce phénomène à sa juste réalité en ne pratiquant plus le déni.

Le management par la manipulation mentale
, Bernard Salengro, L'Harmattan, 2006

Bernard Salengro met dans son second ouvrage, l'accent sur des situations vécues comme des manipulations. Par leur sincérité et l'analyse que Bernard Salengro a pu en faire à la lumière des derniers travaux de psychologie, les témoignages poignants publiés dans cet ouvrage donnent de précieuses clés pour la compréhension et la prévention de pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises.

Journal d'un médecin du travail,
 Dorothée Ramaut, édition Le Cherche midi, 2006

Présentation de l'éditeur :
Un adage affirme : " le travail c'est la santé ".  
Réalité ? Peut-être pas. Il s'agit même pour certains d'une véritable torture morale. Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut pendant six ans est un témoignage unique de la détresse et la souffrance psychologique des salariés d'une grande surface. Elle y dénonce un harcèlement " stratégique " et systématique appliqué à l'ensemble de la hiérarchie. Le docteur Ramaut est le premier médecin du travail à rompre le silence trop longtemps gardé sur ces méthodes " contraires aux droits de l'homme ".

Stupeur et tremblements
, d'Amélie Nothomb (roman), Le Livre de poche, 2001

Employée comme interprète au sein d'une entreprise japonaise, l'héroïne se retrouve, après plusieurs incidents, rétrogradée au simple rang de "nettoyeuse de chiottes". Description d'un monde du travail très particulier...

Harcèlement moral dans la vie professionnelle, 
 Marie-France Hirigoyen, Pocket, 2002

Le harcèlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient. Le succès du premier ouvrage de Marie-France Hirigoyen, paru en 1998, démontre que chacun d'entre nous est un pour l'acteur ou le témoin de ce phénomène social dont on ignorait jusque-là l'ampleur. Depuis, les témoignages se sont accumulés, de multiples affaires ont éclaté, dans le public ou le privé, un débat permanent s'est instauré dans les médias entre psychologues, chefs d'entreprise, syndicalistes, parties prenantes de ce fléau ordinaire. Riche de quatre années d'expériences et de réflexions nouvelles, Marie-France Hirigoyen, dans ce second ouvrage paru sous le titre original "Malaise dans le travail, harcèlement moral - Démêler le vrai du faux", affine son analyse, poursuit son combat, afin de mieux comprendre et prévenir.

Le harcèlement moral au travail,
 Philippe Ravisy, édition Dalloz-Sirey

Face noire du monde du travail, ce mal n'épargne personne : cadres, employés, fonctionnaires...
De silences en sous-entendus, de brimades en vexations, de déstabilisations en humiliations, le harcèlement s'installe. Aller au travail devient un enfer. La dépression succède à l'incompréhension. Le législateur est heureusement intervenu pour combattre ce fléau avec la mise en place d'un " dispositif anti-harcèlement " : d'un côté, la loi interdit, sanctionne et prévient ; de l'autre, elle protège et facilite la preuve.
L'apport des toutes dernières décisions de justice est aussi essentiel pour déterminer et mettre en cause les responsabilités de chacun, en particulier celle de l'employeur. Philippe Ravisy, l'un des tous premiers avocats à s'être préoccupé du sort des victimes, explique dans ce livre comment faire pour s'en sortir et obtenir réparation. Précis, complet, accessible à tous, il permet de trouver sa solution et de la mettre en œuvre.
 
La persécution au travail, de Heinz Leymann

Ce livre - best-seller en Allemagne et dans les pays nordiques, publié une première fois en France sous le titre « Mobbing » révèle l'étendue d'un vaste fléau. De nombreux salariés sont, sans raison valable, victimes de leurs collègues, de leurs supérieurs hiérarchiques, parfois même de leurs subordonnés coalisés contre eux: on les harcèle, on les met en quarantaine, on les humilie, on tente de les briser par tous les moyens. 
Comment identifier la persécution professionnelle? Comment la combattre? Quels sont les recours dont dispose le salarié? En répondant à ces questions, H. Leymann en appelle à la constitution concrète d'une véritable éthique professionnelle. 

L'open space m'a tuer,  Alexandre des Isnards et Thomas Zuber 
 
Le livre met en scène des tranches de vie en racontant le quotidien pas toujours glorieux des jeunes cadres des années 2000. Fini le jeune ambitieux des années 1980. Le trentenaire d'aujourd'hui prend ses RTT, ses congés, et pense que la vraie vie est ailleurs. Réussir sa vie et sa carrière semblent devenus deux objectifs antinomiques. 
Les nouvelles méthodes de management sont peut-être alléchantes sur le papier, mais carbonisent vite les jeunes recrues qui, passée l'ivresse des premiers mois s'éloignent de l'entreprise. Malaises vagaux sur le lieu de travail, dépendance médicamenteuse, dépression, départ du jour au lendemain de jeunes bardés de diplômes pour une ONG humanitaire : les jeunes cadres dynamitent. Jusqu'à présent, ils continuaient à faire bonne figure. Avec ce livre, ils décident enfin d'ôter le masque.

Petit traité contre le sexisme ordinaire de Brigitte GRESY
LE LIVRE 

Entrons en résistance ordinaire contre le sexisme ordinaire ! 

Ce que l’auteur nomme « sexisme ordinaire » ne relève ni de la discrimination ni de l’inégalité avérée pour lesquelles il existe des lois. Il s’agit de tous ces petits signes de la vie de tous les jours, ces minuscules blessures, mots et signes de condescendance, de rejet, de paternalisme qui infantilisent souvent les femmes sans qu’elles sachent comment y faire face.  

Dans les relations de travail, entre collègues, face aux cadres dirigeants ou quand elle est supérieure hiérarchique, une femme rencontre quotidiennement ce qui fait le gisement du sexisme ordinaire : condescendance, dénigrement, obstruction, exclusion, fausse courtoisie, 

blagues douteuses. A travers un certain nombre d’anecdotes prises sur le vif, l’auteur débusque avec passion mais aussi humour, ce qui entrave, blesse, contrarie ou bloque le comportement des femmes et les rend parfois impuissantes à réagir. Et elle propose une sorte de boîte à outils personnelle pour mener des opérations de résistance au quotidien. Le propos est ici celui de la connivence, de l’invitation au jeu si important de la négociation pour ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre, et pour aider à tracer son chemin face aux stéréotypes et à la guerre larvée de l’égalité.  

L’auteure renvoie à un site WWW.sexismeordinaire.com pour qu’hommes et femmes racontent leurs propres histoires vécues dans leur milieu de travail.  

L’AUTEUR 

Brigitte Grésy, énarque et agrégée de grammaire, a été directrice de cabinet de la ministre de l’égalité professionnelle et de la parité. Elle est actuellement inspectrice générale des affaires sociales, rapporteure de la commission sur l’image des femmes dans les médias et a remis en 

juillet dernier au ministre du travail un rapport sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.  

 

Osez le dialogue social dans l'entreprise

 

Faire du dialogue social un levier de la performance globale de l’entreprise en prenany en compte les attentes des salariés, c’est possible ! 

Qui a dit que le dialogue social était bloqué en France ? Tous les jours, dans des entreprises, même en temps de crise, dirigeants et syndicalistes discutent, négocient et trouvent des solutions nouvelles alliant performance globale de l’entreprise et prise en compte des attentes des salariés. 

Comment formaliser le dialogue social dans une PME en croissance ? 

Comment mettre en oeuvre l’accès des personnes handicapées à l’emploi ?

Comment anticiper les besoins de formation des salariés pour sécuriser leurs parcours professionnels et développer l’entreprise ?

Comment concilier droit des saisonniers et qualité du service touristique ? 

En neuf cas d’entreprises de tailles et de secteurs variés, cet ouvrage donne la preuve par l’exemple que le dialogue social est bénéfique pour les salariés comme pour la performance durable des entreprises. 

La parole y est donnée à des dirigeants et syndicalistes qui racontent sans fard les réalités de leur dialogue social. 

Les rédacteurs : 

Marie-Noëlle Auberger, consultante et rédactrice dans le domaine des relations sociales, de la gouvernance et de la responsabilité sociétale des entreprises.(www.gestionattentive.com). 

Nicolas Duffour, journaliste, conseil en communication, animateur de débats et colloques, présentateur d’IPSOS TV. 

Dominique-Anne Michel, journaliste, réalisatrice, conseil et formatrice en communication. Coordinatrice éditoriale de l’ouvrage. 

François Perrin, journaliste. 

Jean-Paul Guillot est docteur d’État es sciences économiques. Créateur, dirigeant et administrateur d’entreprises, il est président de Réalités 

du Dialogue Social (RDS), depuis 2005. 

Carmen Rubia est diplômée du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes. Directrice adjointe des relations extérieures du groupe Aprionis, elle est responsable du groupe de communication de RDS. 

L’association RDS réunit des entreprises, des structures publiques et l’ensemble des organisations patronales et syndicales représentatives au plan national. Lieu d’échanges ouvert, elle s’attache à promouvoir un dialogue social de qualité. 

 

(source : www.cfecgc.org) 

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