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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 09:22


PP24  30/03/2011

 

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

( 01 55 30 12 12

www.cfecgc.org

 

 

Service Communication

Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

 

 

La négociation du 29 mars concernant les jeunes aurait pu avancer… sur les publics ciblés, les accompagnements proposés… et donc les financements nécessaires…

 

En réalité, elle a reculé en raison d’une mesure non prévue et non acceptable pour la CFE-CGC. Une ponction directe de 34 millions puis de 17,5 millions sur des réserves « supposées » de l’APEC ! … et ceci au profit non seulement des diplômés ce qui serait logique au regard du statut actuel… et probablement futur de l’APEC, mais en plus à tout public éloigné de l’emploi !... Ce que la CFE-CGC réfute.

 

Depuis quand l’APEC est-il le bras armé des politiques de l’emploi ? Depuis quand toute ponction pourrait avoir lieu en détournement de son objet et sans concertation préalable ? Depuis quand l’APEC est-elle réceptacle de tous les maux ?

 

La CFE-CGC rappelle qu’une partie des réserves partielles de l’APEC a déjà été affectée aux cadres chômeurs en fin de droits pour 50 millions d’euros via le plan Rebond et que ce plan n’est ni terminé, ni évalué et pourquoi pas prorogé, alors que la crise de 2008 laisse des traces indélébiles sur le marché de l’emploi !

 

La CFE-CGC dénonce l’idée simpliste qui consiste à ne considérer l’embauche des jeunes que par le biais de vases communicants et en tout état de cause pour le MEDEF « à coûts constants » !

 

La CFE-CGC espère un retour à la raison pour reprendre cette négociation porteuse d’espoirs pour les jeunes…

 

 

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 09:19


PP23  28/03/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

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www.cfecgc.org

 

 

 

 


 

Service Communication

Pierre Jan

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Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

 

 C’est ce que les partenaires sociaux ont obtenu le 25 mars dans une séance de négociation qui a pu être conclusive dès lors que le MEDEF a reculé sur ses deux exigences : la baisse exigée des cotisations et l’application immédiate de la réforme des retraites au travers du report des bornes d’âge !

 

La CFE-CGC a obtenu en contrepartie d’une baisse de cotisations systématique (de 0,4 points), que son déclenchement soit lié au niveau de l’endettement des comptes de l’UNEDIC (le déficit du régime devra être égal ou inférieur à 1,5 mois de contributions).

 

Quant aux bornes d’âge destinées à rendre compatible l’indemnisation à la retraite du passage de 60 à 61 ans, le sujet sera traité dans le cadre du groupe de travail paritaire attaché à la convention. Cela évitera l’obsession du MEDEF de faire faire des économies à l’UNEDIC… sur des seniors plus souvent licenciés que recrutés !

 

La CFE-CGC a cautionné l’amélioration de la convention sur les deux préconisations du Médiateur de Pôle Emploi (rapport de 2009) qui sont le cumul possible d’une pension d’invalidité et d’une allocation d’aide au retour à l’emploi et la suppression du coefficient réducteur pénalisant l’allocation des chômeurs saisonniers.

 

La CFE-CGC espère que les hypothèses retenues d’une évolution du PIB de 1,7 % en 2012, de 1,6 % en 2013 et de 1,8 % en 2014 permettront de faire vivre cette convention au service des demandeurs d’emploi indemnisés… et qu’enfin les créations d’emploi deviendront le moteur d’un régime assurantiel défendu âprement par les partenaires sociaux !

 

La CFE-CGC signera le projet d’accord.

 

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 09:16


PP22  28/03/2011

 

CFE-CGC

59 rue du Rocher

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www.cfecgc.org

 

 

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Pierre Jan

( : 01 55 30 12 92

Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

 

 

Le besoin de financement de la retraite complémentaire AGIRC/ARRCO se situe encore à près de 45 milliards d’euros cumulés en 2030, une fois pris en compte l’allongement des bornes d’âge de départ à la retraite à 62 et 67 ans qui rapporte 74 milliards. Les tenants du projet d’accord n’en proposent que… 700 millions, en promettant de se revoir en 2013 pour faire le point ! Nous sommes loin de l’accord équilibré promis qui, en l’état, ne résout pas la question du financement mais spolie les classes moyennes.

De qui se moque-t-on ? Deux sources de financement existent : le capitalisme financier et les prélèvements sur les classes moyennes. Les tenants de la signature préfèrent continuer à tondre les seconds !

Le financement du régime cadres AGIRC fait les frais du dogme égalitariste qui rapproche étrangement la CFDT du MEDEF, tous deux la tête dans le sable pour ne pas voir les conséquences de leurs choix à moyen et long terme.

La CFE-CGC ne peut pas et ne veut pas signer la mort de l’AGIRC dont ont besoin les personnels d’encadrement pour s’assurer une retraite digne de ce nom.

La CFE-CGC est prête à exercer son droit d’opposition et appelle deux autres organisations syndicales à la rejoindre.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 08:37

Jean-Luc Haas, secrétaire national, vous communique cette information qui formalise le positionnement de la CFE-CGC sur les questions fiscales :

http://www.cfecgc.org/e_upload/pdf/fiche_positionnement_isf_mars_2011_v2.pdf <http://www.cfecgc.org/e_upload/pdf/fiche_positionnement_isf_mars_2011_v2.pdf>

 
Merci
Michel Ciesiolka
service communication CFE-CGC
 

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 11:06

PP20  21/03/2011

 

 

 CFE-CGC

59 rue du Rocher

75008 Paris

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Pierre Jan

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Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

 

La négociation de la retraite complémentaire avait pour objectif de trouver un financement à hauteur de 43,6 milliards d’euros cumulés à l’horizon 2030.

 

L’accord proposé à notre signature n’en promet qu’un milliard…

 

En fait, l’analyse détaillée du projet d’accord révèle la tentative d’un transfert entre la retraite cadres et la retraite non-cadres, en spoliant les retraités de l’encadrement de 5 milliards d’euros !

 

C’est la mort du modèle social solidaire au profit des contrats individuels privés…

 

Qui peut consciemment signer un tel accord qui ne règle en rien le problème de financement de la retraite complémentaire, et conduit à appauvrir la future retraite des salariés, particulièrement celle de l’encadrement ?

 

Certainement pas la CFE-CGC !

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 11:04


PP19  18/03/2011

 

 

 

 

 

CFE-CGC

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Pierre Jan

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Fax : 01 55 30 12 60

Mél : pierre.jan@cfecgc.fr

 

Aujourd’hui, le patronat avait-il une ligne de conduite ? Si c’est le cas, a-t-il perdu la boussole ? Louvoyer n’est pas négocier !


Un pas en avant :

• Après de multiples allers-retours, on nous fait miroiter un statut quo pour les pensions de réversion !

Deux pas en arrière :

• Les majorations pour trois enfants et plus initialement proposées à 10% régressent à 8 % ! puis reviennent à 10% avec plafonnement à 1000 euros par an !

• L’évolution des rendements n’est pas stabilisée à terme, ni pour l’AGIRC ni pour l’ARRCO et c’est l’encadrement qui paie l’addition la plus lourde !

Et du sur-place obstiné pour refuser de nouvelles recettes, qui seules permettraient de pérenniser la retraite complémentaire par répartition.

Tout cela pourquoi ?

• Pour proposer un maintien de l’AGFF pour quelques années, alors que personne ne prendra le risque de la supprimer ! Un beau miroir aux alouettes !

• Pour permettre au Medef, de plus en plus ultralibéral de détruire le modèle social français, qu’il juge dépassé et trop onéreux.

La CFE CGC refuse d’être l’otage du jeu trouble du Medef qui veut  faire plier le gouvernement sur la baisse des cotisations patronales.

Ils veulent brader notre protection sociale, pour davantage de bénéfices et de dividendes.

Ce sera sans la CFE CGC !

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 10:04

Je vous transmets ci-dessous, le mail que nous venons de recevoir du Directeur de l’UCANSS.
Bien  cordialement.


P. LAVAUD


Le Comex, soucieux d’aboutir à un accord avec les partenaires sociaux sur la base des propositions formulées au cours de la RPN du 1er mars dernier, n’est pas en mesure, à ce jour, de programmer une date précise pour une prochaine RPN consacrée aux salaires.

Il réitère néanmoins sa volonté d’aboutir rapidement à la conclusion d’un accord.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur le Président, Madame, Monsieur le Secrétaire Général, l'expression de mes salutations distinguées.



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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 10:03

On voudrait rendre la situation impossible que l’on ne ferait pas mieux ! Le gouvernement ne réagit pas aux nombreuses anomalies dans les services de santé au travail. 

 
-          Aucune réaction vis-à-vis du service de Toulouse dont la situation administrative est ubuesque.
 
-          Aucune réaction devant les employeurs administrateurs de Nantes qui démissionnent de leur fonction car la direction du travail ne leur laisse pas faire ce qu’ils veulent, en particulier de la formation, ce qui n’est pas dans leurs attributions.
 
-          Aucune réaction devant les situations de pression psychologique que subissent de nombreux médecins et IPRP dans les services, mettant en difficulté leur indépendance !
 
-          Aucune réaction devant le manque de temps médical motivé par le déni et la non reconnaissance du travail des médecins !
-          Aucune réaction devant la complexification artificielle de la formation des médecins du travail, ce qui constitue un véritable repoussoir pour les étudiants !
 
La CFE-CGC interpelle le gouvernement afin qu’il assume ses responsabilités. Il sera responsable de tout nouveau scandale du type Amiante qui pourrait survenir compte tenu de la situation dégradée de l’action des médecins qui ont en charge le triple des effectifs légaux !
 
La CFE-CGC propose des solutions simples qui peuvent débloquer la situation :
 
- Une gestion transparente des services par un réel contrôle des représentants salariés. Cela ne peut se faire qu’avec un conseil d’administration paritaire avec alternance de la présidence entre salariés et employeurs.
 
- la responsabilisation des organisations d’employeurs en leur faisant nommer et assumer leurs représentants, alors qu’actuellement elles sont déresponsabilisées.
 
- une formation des médecins du travail plus adaptée à leur exercice et les mettant rapidement sur le terrain, ce que permet une formation par alternance à l'instar de tous les salariés. Cela apporterait rapidement une aide conséquente dans les services.

 
Le service communication CFE-CGC


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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 10:02


C’est à l’occasion d’un décret récent sur la retraite “Relatif à l’âge d’attribution d’une pension de retraite à taux plein” que l’on se félicite de voir revenir le visa du Conseil supérieur du reclassement .
 
La CFE-CGC réclamait le retour de cette instance que le gouvernement avait oublié !
 
Pour la CFE-CGC cette instance est nécessaire car c’est la seule qui permette aux partenaires sociaux, véritables acteurs de l’entreprise, de s’exprimer et d’être entendus pour faciliter l’insertion et la défense des personnes handicapées dans le milieu de travail, ce qui n’était pas le cas sur la scène du CNCPH.
 
Cette victoire va permettre de réveiller la cause de l’emploi des personnes handicapées avec des moyens plus adaptés.

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 09:59

Lors de la négociation du 9 mars 2011 relative aux régimes de retraite complémentaire, les employeurs nous ont remis un projet d'accord censé répondre à trois objectifs :

 
1. stabiliser le taux de rendement
 
Les solutions proposées ne garantissent pas une stabilisation des rendements loin de là. Elles actent même une baisse du rendement de l'Agirc qui va conduire immanquablement à une chute des pensions actuelles et futures.
 
 
2. pérenniser les régimes Agirc/Arrco
 
La tentative est d'enterrer le statut encadrement en détricotant le régime spécifique Agirc. L’enjeu prioritaire de la négociation en cours doit être la consolidation de la retraite complémentaire et non la remise en cause des fondements du statut de l’encadrement.
 
3. Assurer la pérennité financière des régimes de retraite complémentaire.
 
Le refus de toute augmentation de cotisations interdit le retour à l'équilibre des régimes.
 
Pour la CFE-CGC, la priorité est de dégager des ressources afin de garantir un taux de remplacement qui assure aux futurs retraités un niveau de vie acceptable.

Service communication CFE-CGC

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Présentation

  • : Le blog de cfecgc.urssafnordpasdecalais
  • : (2ème blog, voir rubrique liens utiles : http://cfecgc.urssafnordpasdecalais.over-blog.com)
  • Contact

Présentation de livres

Le stress des cadres, Bernard Salengro

Cet ouvrage propose des témoignages suivis d'explications et d'analyses donnant des clés pour la compréhension et la prévention des pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises. Les professionnels et membres d'encadrement sont d'autant plus concernés qu'ils sont les plus touchés.  Les entreprises sortiront gagnantes d'une prise en compte de ce phénomène à sa juste réalité en ne pratiquant plus le déni.

Le management par la manipulation mentale
, Bernard Salengro, L'Harmattan, 2006

Bernard Salengro met dans son second ouvrage, l'accent sur des situations vécues comme des manipulations. Par leur sincérité et l'analyse que Bernard Salengro a pu en faire à la lumière des derniers travaux de psychologie, les témoignages poignants publiés dans cet ouvrage donnent de précieuses clés pour la compréhension et la prévention de pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises.

Journal d'un médecin du travail,
 Dorothée Ramaut, édition Le Cherche midi, 2006

Présentation de l'éditeur :
Un adage affirme : " le travail c'est la santé ".  
Réalité ? Peut-être pas. Il s'agit même pour certains d'une véritable torture morale. Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut pendant six ans est un témoignage unique de la détresse et la souffrance psychologique des salariés d'une grande surface. Elle y dénonce un harcèlement " stratégique " et systématique appliqué à l'ensemble de la hiérarchie. Le docteur Ramaut est le premier médecin du travail à rompre le silence trop longtemps gardé sur ces méthodes " contraires aux droits de l'homme ".

Stupeur et tremblements
, d'Amélie Nothomb (roman), Le Livre de poche, 2001

Employée comme interprète au sein d'une entreprise japonaise, l'héroïne se retrouve, après plusieurs incidents, rétrogradée au simple rang de "nettoyeuse de chiottes". Description d'un monde du travail très particulier...

Harcèlement moral dans la vie professionnelle, 
 Marie-France Hirigoyen, Pocket, 2002

Le harcèlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient. Le succès du premier ouvrage de Marie-France Hirigoyen, paru en 1998, démontre que chacun d'entre nous est un pour l'acteur ou le témoin de ce phénomène social dont on ignorait jusque-là l'ampleur. Depuis, les témoignages se sont accumulés, de multiples affaires ont éclaté, dans le public ou le privé, un débat permanent s'est instauré dans les médias entre psychologues, chefs d'entreprise, syndicalistes, parties prenantes de ce fléau ordinaire. Riche de quatre années d'expériences et de réflexions nouvelles, Marie-France Hirigoyen, dans ce second ouvrage paru sous le titre original "Malaise dans le travail, harcèlement moral - Démêler le vrai du faux", affine son analyse, poursuit son combat, afin de mieux comprendre et prévenir.

Le harcèlement moral au travail,
 Philippe Ravisy, édition Dalloz-Sirey

Face noire du monde du travail, ce mal n'épargne personne : cadres, employés, fonctionnaires...
De silences en sous-entendus, de brimades en vexations, de déstabilisations en humiliations, le harcèlement s'installe. Aller au travail devient un enfer. La dépression succède à l'incompréhension. Le législateur est heureusement intervenu pour combattre ce fléau avec la mise en place d'un " dispositif anti-harcèlement " : d'un côté, la loi interdit, sanctionne et prévient ; de l'autre, elle protège et facilite la preuve.
L'apport des toutes dernières décisions de justice est aussi essentiel pour déterminer et mettre en cause les responsabilités de chacun, en particulier celle de l'employeur. Philippe Ravisy, l'un des tous premiers avocats à s'être préoccupé du sort des victimes, explique dans ce livre comment faire pour s'en sortir et obtenir réparation. Précis, complet, accessible à tous, il permet de trouver sa solution et de la mettre en œuvre.
 
La persécution au travail, de Heinz Leymann

Ce livre - best-seller en Allemagne et dans les pays nordiques, publié une première fois en France sous le titre « Mobbing » révèle l'étendue d'un vaste fléau. De nombreux salariés sont, sans raison valable, victimes de leurs collègues, de leurs supérieurs hiérarchiques, parfois même de leurs subordonnés coalisés contre eux: on les harcèle, on les met en quarantaine, on les humilie, on tente de les briser par tous les moyens. 
Comment identifier la persécution professionnelle? Comment la combattre? Quels sont les recours dont dispose le salarié? En répondant à ces questions, H. Leymann en appelle à la constitution concrète d'une véritable éthique professionnelle. 

L'open space m'a tuer,  Alexandre des Isnards et Thomas Zuber 
 
Le livre met en scène des tranches de vie en racontant le quotidien pas toujours glorieux des jeunes cadres des années 2000. Fini le jeune ambitieux des années 1980. Le trentenaire d'aujourd'hui prend ses RTT, ses congés, et pense que la vraie vie est ailleurs. Réussir sa vie et sa carrière semblent devenus deux objectifs antinomiques. 
Les nouvelles méthodes de management sont peut-être alléchantes sur le papier, mais carbonisent vite les jeunes recrues qui, passée l'ivresse des premiers mois s'éloignent de l'entreprise. Malaises vagaux sur le lieu de travail, dépendance médicamenteuse, dépression, départ du jour au lendemain de jeunes bardés de diplômes pour une ONG humanitaire : les jeunes cadres dynamitent. Jusqu'à présent, ils continuaient à faire bonne figure. Avec ce livre, ils décident enfin d'ôter le masque.

Petit traité contre le sexisme ordinaire de Brigitte GRESY
LE LIVRE 

Entrons en résistance ordinaire contre le sexisme ordinaire ! 

Ce que l’auteur nomme « sexisme ordinaire » ne relève ni de la discrimination ni de l’inégalité avérée pour lesquelles il existe des lois. Il s’agit de tous ces petits signes de la vie de tous les jours, ces minuscules blessures, mots et signes de condescendance, de rejet, de paternalisme qui infantilisent souvent les femmes sans qu’elles sachent comment y faire face.  

Dans les relations de travail, entre collègues, face aux cadres dirigeants ou quand elle est supérieure hiérarchique, une femme rencontre quotidiennement ce qui fait le gisement du sexisme ordinaire : condescendance, dénigrement, obstruction, exclusion, fausse courtoisie, 

blagues douteuses. A travers un certain nombre d’anecdotes prises sur le vif, l’auteur débusque avec passion mais aussi humour, ce qui entrave, blesse, contrarie ou bloque le comportement des femmes et les rend parfois impuissantes à réagir. Et elle propose une sorte de boîte à outils personnelle pour mener des opérations de résistance au quotidien. Le propos est ici celui de la connivence, de l’invitation au jeu si important de la négociation pour ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre, et pour aider à tracer son chemin face aux stéréotypes et à la guerre larvée de l’égalité.  

L’auteure renvoie à un site WWW.sexismeordinaire.com pour qu’hommes et femmes racontent leurs propres histoires vécues dans leur milieu de travail.  

L’AUTEUR 

Brigitte Grésy, énarque et agrégée de grammaire, a été directrice de cabinet de la ministre de l’égalité professionnelle et de la parité. Elle est actuellement inspectrice générale des affaires sociales, rapporteure de la commission sur l’image des femmes dans les médias et a remis en 

juillet dernier au ministre du travail un rapport sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.  

 

Osez le dialogue social dans l'entreprise

 

Faire du dialogue social un levier de la performance globale de l’entreprise en prenany en compte les attentes des salariés, c’est possible ! 

Qui a dit que le dialogue social était bloqué en France ? Tous les jours, dans des entreprises, même en temps de crise, dirigeants et syndicalistes discutent, négocient et trouvent des solutions nouvelles alliant performance globale de l’entreprise et prise en compte des attentes des salariés. 

Comment formaliser le dialogue social dans une PME en croissance ? 

Comment mettre en oeuvre l’accès des personnes handicapées à l’emploi ?

Comment anticiper les besoins de formation des salariés pour sécuriser leurs parcours professionnels et développer l’entreprise ?

Comment concilier droit des saisonniers et qualité du service touristique ? 

En neuf cas d’entreprises de tailles et de secteurs variés, cet ouvrage donne la preuve par l’exemple que le dialogue social est bénéfique pour les salariés comme pour la performance durable des entreprises. 

La parole y est donnée à des dirigeants et syndicalistes qui racontent sans fard les réalités de leur dialogue social. 

Les rédacteurs : 

Marie-Noëlle Auberger, consultante et rédactrice dans le domaine des relations sociales, de la gouvernance et de la responsabilité sociétale des entreprises.(www.gestionattentive.com). 

Nicolas Duffour, journaliste, conseil en communication, animateur de débats et colloques, présentateur d’IPSOS TV. 

Dominique-Anne Michel, journaliste, réalisatrice, conseil et formatrice en communication. Coordinatrice éditoriale de l’ouvrage. 

François Perrin, journaliste. 

Jean-Paul Guillot est docteur d’État es sciences économiques. Créateur, dirigeant et administrateur d’entreprises, il est président de Réalités 

du Dialogue Social (RDS), depuis 2005. 

Carmen Rubia est diplômée du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes. Directrice adjointe des relations extérieures du groupe Aprionis, elle est responsable du groupe de communication de RDS. 

L’association RDS réunit des entreprises, des structures publiques et l’ensemble des organisations patronales et syndicales représentatives au plan national. Lieu d’échanges ouvert, elle s’attache à promouvoir un dialogue social de qualité. 

 

(source : www.cfecgc.org) 

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