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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 09:50

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 09:35

Nous remercions nos électeurs et nos électrices d’avoir voté pour nos candidat(e)s lors des élections du 19 mars 2013 des délégués du personnel, des représentants du personnel au Comité d’Entreprise et au Conseil d’Administration.

Nous remercions également toutes celles et tous ceux qui nous ont aidés dans la préparation de ces élections.

Grâce à vos voix, nous obtenons :

  • un poste de titulaire au Comité d’Entreprise,
  • un poste de titulaire et de suppléant au titre de la délégation du personnel.

Et, pour les élections des représentants du personnel au Conseil d'administration, notre liste termine en deuxième position dans le collège cadre.

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 11:26

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 11:25

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 15:41

Le 12 mars prochain, les salarié(e)s de l’URSSAF du NORD-PAS-DE-CALAIS éliront pour quatre ans leurs représentants au Comité d’Entreprise et leurs délégués du personnel.

Pour un choix gagnant, VOTEZ POUR LES CANDIDAT(E)S CFE-CGC. 

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 00:24
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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 00:03

05/03/2013 • Santé

Le manque de temps consacré à la santé au travail est connu depuis longtemps. Les raisons en sont simples : le médecin du travail, qui connait les salariés et qui critique les conditions de travail, est d’une indépendance professionnelle  gênante qu’on tente de brider.


La récente réforme devait recentrer le médecin du travail sur les conditions de travail et permettre une meilleure visibilité administrative et financière des services par une gestion plus paritaire. 

La CFE-CGC avait obtenu que des médecins puissent être formés plus facilement. Il fallait remettre en place des formations qui existaient il y a peu de temps encore sans passer par l’internat dont le fonctionnement est rigide (quatre ans après les études de médecine et une interdiction de reconversion vers une médecine classique). Cela permettait de compenser la pénurie organisée des médecins du travail en faisant appel aux autres médecins engagés dans les services de santé au travail et formés en parallèle.

Hélas ! l’État n’a toujours pas engagé les universités à organiser cette formation. Le ministère du Travail n’organise pas la mise en place de la loi par ses services déconcentrés et laisse fonctionner des gestions hasardeuses. Pire encore, l’État, par ses circulaires, rend l’insertion des médecins plus difficile. Quand on veut tuer son chien…

La CFE-CGC n’accepte pas de voir la médecine du travail s’effilocher au détriment des salariés, sans réagir. Elle exige que la loi soit appliquée avec l’appui du ministère dans les services de santé au travail mais également dans les universités : n’en ont-elles pas le devoir ?

Sinon, il resterait à organiser des charters pour inciter les étudiants en médecine à aller en Roumanie ou à s’adresser aux centres portugais Fernando-Pessoa de Toulon et de Béziers qui permettent de faire des médecins selon la loi portugaise sur le territoire français pour contourner l’impéritie des responsables français.

(Source : cfecgc.org)

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 23:52

Manifestement les organisations syndicales n'ont pas la même lecture que l'ACOSS et l'UCANSS du protocole d'accord du 27 février 2009.

Même si l'ACOSS s'en défend, la position de l'ACOSS semble davantage dictée par des considérations budgétaires que juridiques.

Pour nous, il résulte clairement de l'accord que :

C'est à chaque organisme qu'il revient de déterminer annuellement le nombre de parcours professionnels ouverts pour passer de niveau 6 à niveau 7.

L'objectif de chaque organisme doit être, chaque année, de positionner sur le niveau 7 au moins 75 % des inspecteurs répondant aux conditions d'expérience fixées par le protocole.

Par exemple, nous avons fait remarquer que pour l'URSSAF du Nord-Pas-de-Calais, le taux des 75 % n'avait pas été atteint, car 2 parcours avaient seulement été proposés pour une vingtaine d'inspecteurs éligibles.

Les tableaux produits avec des erreurs de date (effectifs au 31/12/2011 et 31/12/2012 et non pas au 31/12/2010 et 31/12/2011) montrent encore des disparités entre les régions.

Pour la CFE-CGC,  ces inégalités de traitement pourraient justifier des recours judiciaires et des demandes de dommages et intérêts.

La CFE-CGC a attiré l'attention de l'ACOSS sur le fait que certains inspecteurs niveau 7 étaient freinés dans leur évolution de carrière : aucun point de compétence attribué.

L'ACOSS devrait questionner les organismes sur ce point et nous apporter des réponses chiffrées.

La dangerosité de certains contrôles a été évoquée suite notamment à l'agression dont a été victime une inspectrice de Marseille à l’occasion d’un contrôle comptable d’assiette.

Sur cette agression, l'ACOSS a indiqué que la procédure prévue par le protocole d'accord du 27 février 2009 avait été respectée.

Les organisations syndicales ont demandé de généraliser la pratique du contrôle à 2 inspecteurs pour tous les contrôles présentant des risques. 

La question des risques encourus par les inspecteurs du recouvrement sera probablement inscrite à l'ordre du jour de la commission paritaire nationale santé, sécurité et conditions de travail.

Sur la question des temps de trajet, l'UCANSS a rappelé les dispositions de l'article L.3121-4 du Code du travail. 

Cet article prévoit que le temps de déplacement professionnel pour se rendre sur le lieu d’exécution du contrat de travail n’est pas du temps de travail effectif et, par conséquent, ne peut être rémunéré comme tel.

Cependant, si ce temps de déplacement dépasse le temps normal de trajet entre le domicile et le lieu habituel de travail, il doit faire l’objet d’une contrepartie (soit sous forme de repos, soit financière) qui pourra être déterminée par convention ou accord collectif, ou à défaut par l’employeur après consultation du comité d’entreprise ou des délégués du personnel.

La question est donc du ressort de la négociation collective. Pour l'ACOSS, la question de la récupération des temps de trajet est un sujet à réel enjeu. Elle y réfléchit.

L'ACOSS rapporte que, dans le cadre des fusions d’organismes, certaines URSSAF ont préféré négocier le sujet dans un protocole spécifique pour ne pas bloquer la négociation sur tous les autres points.

Sur l’opportunité de forfaitiser le temps de travail des cadres et assimilés, l’ACOSS indique que c'est une possibilité offerte dans la négociation régionale.

Le forfait est seulement exigé par l'ACOSS pour les agents de direction.

L'ACOSS et l'UCANSS ont confirmé que :

Un nouveau marché national pour les véhicules avait été conclu.

Une Clio sera désormais proposée (la nature du modèle n'a pas été précisée) avec utilisation mixte (avec participation) ou uniquement professionnelle.

Les avantages en nature seront supprimés

Les organisations syndicales font toujours le constat de fortes disparités sur ces questions :"Le marché est national, mais le pilotage est local".

Elles demandent un meilleur cadrage et une meilleure concertation. 

L’ACOSS étudie la question des remboursements des repas lors des déplacements.

Pour l'heure, s’agissant des inspecteurs, l'indemnité de repas n'est pas accordée pour un déplacement sur le site de rattachement ou à proximité de la résidence administrative.

La CFE-CGC a demandé si le dispositif prévu par l'article 33 du protocole d'accord avait été mis en place ("accompagnement pour favoriser l'accession à des fonctions managériales").

L'ACOSS a répondu que non.

l'ACOSS a toutefois souligné la création d'une nouvelle fonction, celle de Conseiller d'orientation professionnelle et elle a indiqué que, dans le cadre des fusions, les salariés avaient été invités à exprimer leurs souhaits de carrière.

La CFE-CGC est également intervenue pour souhaiter l'attribution automatique d'un niveau 7 aux inspecteurs les plus anciens qui n'ont pas voulu suivre le parcours prévu par le protocole du 27 février 2009.

Pour la maîtrise de la fonction d'inspecteur, un groupe de travail au niveau de l'ACOSS a été mis en place pour "améliorer le dispositif".

Enfin, la CFE-CGC a demandé des statistiques supplémentaires, par organisme, qui répondent aux questions suivantes : "niveau 7 proposé, niveau 7 réalisé"

 

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 19:51

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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 19:21

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Présentation

  • : Le blog de cfecgc.urssafnordpasdecalais
  • : (2ème blog, voir rubrique liens utiles : http://cfecgc.urssafnordpasdecalais.over-blog.com)
  • Contact

Présentation de livres

Le stress des cadres, Bernard Salengro

Cet ouvrage propose des témoignages suivis d'explications et d'analyses donnant des clés pour la compréhension et la prévention des pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises. Les professionnels et membres d'encadrement sont d'autant plus concernés qu'ils sont les plus touchés.  Les entreprises sortiront gagnantes d'une prise en compte de ce phénomène à sa juste réalité en ne pratiquant plus le déni.

Le management par la manipulation mentale
, Bernard Salengro, L'Harmattan, 2006

Bernard Salengro met dans son second ouvrage, l'accent sur des situations vécues comme des manipulations. Par leur sincérité et l'analyse que Bernard Salengro a pu en faire à la lumière des derniers travaux de psychologie, les témoignages poignants publiés dans cet ouvrage donnent de précieuses clés pour la compréhension et la prévention de pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises.

Journal d'un médecin du travail,
 Dorothée Ramaut, édition Le Cherche midi, 2006

Présentation de l'éditeur :
Un adage affirme : " le travail c'est la santé ".  
Réalité ? Peut-être pas. Il s'agit même pour certains d'une véritable torture morale. Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut pendant six ans est un témoignage unique de la détresse et la souffrance psychologique des salariés d'une grande surface. Elle y dénonce un harcèlement " stratégique " et systématique appliqué à l'ensemble de la hiérarchie. Le docteur Ramaut est le premier médecin du travail à rompre le silence trop longtemps gardé sur ces méthodes " contraires aux droits de l'homme ".

Stupeur et tremblements
, d'Amélie Nothomb (roman), Le Livre de poche, 2001

Employée comme interprète au sein d'une entreprise japonaise, l'héroïne se retrouve, après plusieurs incidents, rétrogradée au simple rang de "nettoyeuse de chiottes". Description d'un monde du travail très particulier...

Harcèlement moral dans la vie professionnelle, 
 Marie-France Hirigoyen, Pocket, 2002

Le harcèlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient. Le succès du premier ouvrage de Marie-France Hirigoyen, paru en 1998, démontre que chacun d'entre nous est un pour l'acteur ou le témoin de ce phénomène social dont on ignorait jusque-là l'ampleur. Depuis, les témoignages se sont accumulés, de multiples affaires ont éclaté, dans le public ou le privé, un débat permanent s'est instauré dans les médias entre psychologues, chefs d'entreprise, syndicalistes, parties prenantes de ce fléau ordinaire. Riche de quatre années d'expériences et de réflexions nouvelles, Marie-France Hirigoyen, dans ce second ouvrage paru sous le titre original "Malaise dans le travail, harcèlement moral - Démêler le vrai du faux", affine son analyse, poursuit son combat, afin de mieux comprendre et prévenir.

Le harcèlement moral au travail,
 Philippe Ravisy, édition Dalloz-Sirey

Face noire du monde du travail, ce mal n'épargne personne : cadres, employés, fonctionnaires...
De silences en sous-entendus, de brimades en vexations, de déstabilisations en humiliations, le harcèlement s'installe. Aller au travail devient un enfer. La dépression succède à l'incompréhension. Le législateur est heureusement intervenu pour combattre ce fléau avec la mise en place d'un " dispositif anti-harcèlement " : d'un côté, la loi interdit, sanctionne et prévient ; de l'autre, elle protège et facilite la preuve.
L'apport des toutes dernières décisions de justice est aussi essentiel pour déterminer et mettre en cause les responsabilités de chacun, en particulier celle de l'employeur. Philippe Ravisy, l'un des tous premiers avocats à s'être préoccupé du sort des victimes, explique dans ce livre comment faire pour s'en sortir et obtenir réparation. Précis, complet, accessible à tous, il permet de trouver sa solution et de la mettre en œuvre.
 
La persécution au travail, de Heinz Leymann

Ce livre - best-seller en Allemagne et dans les pays nordiques, publié une première fois en France sous le titre « Mobbing » révèle l'étendue d'un vaste fléau. De nombreux salariés sont, sans raison valable, victimes de leurs collègues, de leurs supérieurs hiérarchiques, parfois même de leurs subordonnés coalisés contre eux: on les harcèle, on les met en quarantaine, on les humilie, on tente de les briser par tous les moyens. 
Comment identifier la persécution professionnelle? Comment la combattre? Quels sont les recours dont dispose le salarié? En répondant à ces questions, H. Leymann en appelle à la constitution concrète d'une véritable éthique professionnelle. 

L'open space m'a tuer,  Alexandre des Isnards et Thomas Zuber 
 
Le livre met en scène des tranches de vie en racontant le quotidien pas toujours glorieux des jeunes cadres des années 2000. Fini le jeune ambitieux des années 1980. Le trentenaire d'aujourd'hui prend ses RTT, ses congés, et pense que la vraie vie est ailleurs. Réussir sa vie et sa carrière semblent devenus deux objectifs antinomiques. 
Les nouvelles méthodes de management sont peut-être alléchantes sur le papier, mais carbonisent vite les jeunes recrues qui, passée l'ivresse des premiers mois s'éloignent de l'entreprise. Malaises vagaux sur le lieu de travail, dépendance médicamenteuse, dépression, départ du jour au lendemain de jeunes bardés de diplômes pour une ONG humanitaire : les jeunes cadres dynamitent. Jusqu'à présent, ils continuaient à faire bonne figure. Avec ce livre, ils décident enfin d'ôter le masque.

Petit traité contre le sexisme ordinaire de Brigitte GRESY
LE LIVRE 

Entrons en résistance ordinaire contre le sexisme ordinaire ! 

Ce que l’auteur nomme « sexisme ordinaire » ne relève ni de la discrimination ni de l’inégalité avérée pour lesquelles il existe des lois. Il s’agit de tous ces petits signes de la vie de tous les jours, ces minuscules blessures, mots et signes de condescendance, de rejet, de paternalisme qui infantilisent souvent les femmes sans qu’elles sachent comment y faire face.  

Dans les relations de travail, entre collègues, face aux cadres dirigeants ou quand elle est supérieure hiérarchique, une femme rencontre quotidiennement ce qui fait le gisement du sexisme ordinaire : condescendance, dénigrement, obstruction, exclusion, fausse courtoisie, 

blagues douteuses. A travers un certain nombre d’anecdotes prises sur le vif, l’auteur débusque avec passion mais aussi humour, ce qui entrave, blesse, contrarie ou bloque le comportement des femmes et les rend parfois impuissantes à réagir. Et elle propose une sorte de boîte à outils personnelle pour mener des opérations de résistance au quotidien. Le propos est ici celui de la connivence, de l’invitation au jeu si important de la négociation pour ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre, et pour aider à tracer son chemin face aux stéréotypes et à la guerre larvée de l’égalité.  

L’auteure renvoie à un site WWW.sexismeordinaire.com pour qu’hommes et femmes racontent leurs propres histoires vécues dans leur milieu de travail.  

L’AUTEUR 

Brigitte Grésy, énarque et agrégée de grammaire, a été directrice de cabinet de la ministre de l’égalité professionnelle et de la parité. Elle est actuellement inspectrice générale des affaires sociales, rapporteure de la commission sur l’image des femmes dans les médias et a remis en 

juillet dernier au ministre du travail un rapport sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.  

 

Osez le dialogue social dans l'entreprise

 

Faire du dialogue social un levier de la performance globale de l’entreprise en prenany en compte les attentes des salariés, c’est possible ! 

Qui a dit que le dialogue social était bloqué en France ? Tous les jours, dans des entreprises, même en temps de crise, dirigeants et syndicalistes discutent, négocient et trouvent des solutions nouvelles alliant performance globale de l’entreprise et prise en compte des attentes des salariés. 

Comment formaliser le dialogue social dans une PME en croissance ? 

Comment mettre en oeuvre l’accès des personnes handicapées à l’emploi ?

Comment anticiper les besoins de formation des salariés pour sécuriser leurs parcours professionnels et développer l’entreprise ?

Comment concilier droit des saisonniers et qualité du service touristique ? 

En neuf cas d’entreprises de tailles et de secteurs variés, cet ouvrage donne la preuve par l’exemple que le dialogue social est bénéfique pour les salariés comme pour la performance durable des entreprises. 

La parole y est donnée à des dirigeants et syndicalistes qui racontent sans fard les réalités de leur dialogue social. 

Les rédacteurs : 

Marie-Noëlle Auberger, consultante et rédactrice dans le domaine des relations sociales, de la gouvernance et de la responsabilité sociétale des entreprises.(www.gestionattentive.com). 

Nicolas Duffour, journaliste, conseil en communication, animateur de débats et colloques, présentateur d’IPSOS TV. 

Dominique-Anne Michel, journaliste, réalisatrice, conseil et formatrice en communication. Coordinatrice éditoriale de l’ouvrage. 

François Perrin, journaliste. 

Jean-Paul Guillot est docteur d’État es sciences économiques. Créateur, dirigeant et administrateur d’entreprises, il est président de Réalités 

du Dialogue Social (RDS), depuis 2005. 

Carmen Rubia est diplômée du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes. Directrice adjointe des relations extérieures du groupe Aprionis, elle est responsable du groupe de communication de RDS. 

L’association RDS réunit des entreprises, des structures publiques et l’ensemble des organisations patronales et syndicales représentatives au plan national. Lieu d’échanges ouvert, elle s’attache à promouvoir un dialogue social de qualité. 

 

(source : www.cfecgc.org) 

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