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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 16:45

10/06/2013 • Toutes les actualités

Après le congrès de Saint-Malo, la CFE-CGC fait connaître ses orientations prioritaires :


1. La ré-industrialisation, un enjeu crucial
2. Une préoccupation centrale : favoriser les passerelles, en faveur de l’emploi
3. Une gouvernance responsable
4. Construire une Europe sociale et fiscale

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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 16:43

10/06/2013 • Protection sociale

Le Haut Conseil du Financement de la protection sociale, dans le rapport qu’il a remis au premier ministre, propose d’augmenter la CSG à la charge des salariés en contrepartie d’une baisse des cotisations sociales à la charge des employeurs. Le Haut Conseil indique que cette substitution devrait s’opérer sans perte de salaire net, ce qui suppose une augmentation des rémunérations brutes. Pour garantir cette augmentation, il suggère la négociation collective ou la loi (tout en indiquant qu’une telle loi risquerait fort d’être déclarée non conforme à la Constitution) !

Le caractère irréaliste d’une telle proposition saute aux yeux de tous les salariés qui savent bien qu’une hausse de la CSG se traduira immanquablement par une baisse de leur salaire net.

Le rapport évoque également un recours accru à la fiscalité environnementale, voire comportementale, tout en soulignant la difficulté de sa mise en œuvre.
Mais le Haut Conseil envisage surtout des réaffectations de ressources. Cet exercice, sans être totalement inintéressant, se limite tout de même à réaménager la tuyauterie de l’usine à gaz.

La remise par le Haut Conseil d’un rapport universitaire assez académique conforte la CFE-CGC dans sa proposition de mise en place d‘une Cotisation Sociale sur la Consommation, qui aurait l’avantage de faire contribuer les produits importés au financement de notre protection sociale.


Dossier suivi par : Serge LAVAGNA
Secrétaire national confédéral – Protection Sociale
Tél. : 06 80 15 83 98 - E-mail
: serge.lavagna@cfecgc.fr

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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 09:29

Je vous informe que le Protocole d'accord du 10 avril 2013 relatif à la rémunération dans les organismes du régime général a été agréé par lettre du 29 mai 2013.

Pour plus d'info se reporter à la nouvelle du 29032013 et au tract joint sur les propositions de l'employeur.

L'accord sera publié sur le site de l'UCANSS

Cordial
ement.
P. LAVAUD

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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 09:10

04/06/2013 • Protection sociale

Le couperet est tombé : l’arbitrage du président de la République en matière de politique familiale remet en cause son engagement. Celui d’en finir avec les augmentations d’impôt en 2014.

Une fois de plus, et contrairement aux promesses, les classes moyennes font les frais d’un revirement chiffré à un milliard d’euros :

- Nouvelle baisse du plafond du quotient familial. Ce quotient a été créé non seulement pour encourager la natalité mais aussi pour assurer l’équité et la neutralité de l’impôt au regard de la situation familiale du ménage. La nouvelle baisse du plafond à 1 500 euros par « demi-part d’enfant à charge » pénalise 1,3 million de ménages !

- Suppression de la réduction d’impôts pour frais de scolarité dans le secondaire.

- Réduction de 50 % des aides à la naissance (allocation de base de la PAJE) pour les ménages dont les ressources dépassent un certain plafond (3 250 euros pour un couple mono actif ; 4 000 euros pour un couple biactif ou personne isolée).

La CFE-CGC souscrit au principe de solidarité, l’un des piliers de la politique familiale, à la condition que cette solidarité soit équitable. À cet égard, le quotient familial vise à garantir un niveau de vie équivalent, à revenu équivalent, à deux familles avec ou sans enfants. Or, les mesures prises par le gouvernement sont en totale contradiction avec ce postulat. Pire, elles portent atteinte à l’ambition d’une politique familiale qui prône la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale. Elles s’inscrivent à contre-courant du dynamisme démographique envié par nos voisins européens.

Ces mesures ciblent, une fois de plus, ceux qui participent le plus à la solidarité nationale. Elles auront des effets désastreux sur l’emploi car elles induisent le risque d’un retour au foyer de l’un des deux parents, d’une diminution des emplois dans les métiers de service à la personne, d’une baisse de la consommation.

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 23:06
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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 22:55

28/05/2013 • Économie - Fiscalité

Il n'y aura pas de loi sur la limitation des salaires des dirigeants dans les entreprises privées. La CFE-CGC peut admettre cette décision gouvernementale puisque que ce n'est pas à l'État de décider du bon niveau de rémunération d'un dirigeant d'une entreprise privée. Elle préférerait cependant un contrôle efficace et décisionnel donné aux actionnaires, un vrai "Say on pay".

Alors qui va payer ? L'entreprise… qui va voir ses résultats baisser d'autant. Ce qui n’est pas très bon pour la compétitivité et donc pour l'emploi. La CFE-CGC y voit un risque de délocalisation des équipes dirigeantes vers d'autres cieux fiscalement plus cléments.

Et qui d'autres ? Les salariés… à cause de la baisse des résultats de l'entreprise. La réserve de participation et les éléments du calcul de l'intéressement seront amputés par cette taxe... Donc chaque salarié de l'entreprise concernée va contribuer à payer la taxe due sur les plus hauts salaires par une réduction de sa participation et de son intéressement !

Bien sûr, individuellement, ce ne seront que quelques euros, au pire quelques dizaines d’euros, mais la CFE-CGC ne peut l'admettre !

Pour maintenir le pouvoir d'achat des salariés, la CFE-CGC demande que le montant de cette taxe soit communiqué, chaque année, aux partenaires sociaux. Que son montant soit réintégré dans le calcul de la participation et de l'intéressement et comptabilisé dans la base servant à la détermination de l'enveloppe financière consacrée aux œuvres soci
ales du comité d'entreprise.

Dossier suivi par : Marie-Françoise Leflon - Secrétaire générale
Tél : 06 77 94 25 77 - E-mail : mariefrancoise.leflon@cfecg
c.fr

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 22:53

28/05/2013 • Toutes les actualités

Avec la journée citoyenne du 25 mai, le débat sur la transition énergétique vient de franchir un cap : mieux associer les citoyens.

La CFE-CGC s’en réjouit. La transition énergétique voulue par le gouvernement doit mieux intégrer les attentes des Français et répondre à leurs priorités : l’emploi et le pouvoir d’achat.

L’encadrement s’oppose aux postures idéologiques de ceux qui souhaitent imposer aux citoyens un changement majeur de modèle de société et remettre en cause la compétitivité du système énergétique national.

La CFE-CGC préconise une transition énergétique pragmatique, porteuse d’un développement durable, respectant les intérêts des citoyens et des salariés. Si l’efficacité énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique doivent être au cœur des priorités, la transition énergétique doit aussi être un moteur de croissance.

L’énergie est plus que jamais une question de souveraineté, tandis que son prix est au cœur de la compétition mondiale. La CFE-CGC rappelle que la politique énergétique doit permettre d’assurer la compétitivité du pays, tant pour ses entreprises que pour le pouvoir d’achat de ses citoyens.

L’autre objectif est de réindustrialiser le pays par le soutien aux filières industrielles pourvoyeuses d’emplois qualifiés. C’est la clef des emplois d’aujourd’hui comme de demain !

C’est cette position pragmatique, soucieuse de l’intérêt général, que
la CFE-CGC ne cessera de porter.


Dossier suivi par : Alexandre GRILLAT
Secrétaire National confédéral - Développement Durable, Energie, RSE et Logement
Tél. : 06 77 74 51 69 - E-mail : alexandre.grillat@cfecg
c.fr

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 22:51

24/05/2013 • Emploi

Tant que la croissance n’est pas au rendez-vous, l’UNEDIC ne peut que revoir ses prévisions financières et c’est ce que qui s’est passé hier.

Sur des anticipations de croissance revues à la baisse pour 2013 à -0,2 % et même avec une prévision plus optimiste de +0,7 % pour 2014, les destructions d’emploi se poursuivent.

Face à ce constat, l’UNEDIC a dû revoir pour 2014 ses prévisions qui s’affichent désormais à 24,1 milliards de déficit à fin 2014, après un premier chiffre record qui devrait être conforme aux prévisions pour 2013 de 18,5 milliards de dettes consolidées.

Mais que dire, que faire dans une telle situation, dès lors que les dépenses d’indemnisation augmentent de 3,1 % l’an quand les recettes n’augmentent que de 1,4 % l’an ? Que dire face à un chômage qui atteint son plus haut niveau depuis 17 ans ?

La CFE-CGC considère que, dans un tel climat, le régime actuel de l’indemnisation chômage joue son vrai rôle d’amortisseur social. Tant que les outils de politique de l’emploi ne sont pas opérationnels (emplois d’avenir, contrats génération…) pour inverser réellement la courbe du chômage, le déficit temporaire est nécessaire.

La CFE-CGC entend préserver cette sauvegarde pour les salariés privés d’emploi et veillera à la stabilisation de la règle de cotisation des cadres qui alimente le régime et protège les classes moyennes tout aussi fragilisées par la crise économique.

La CFE-CGC se réjouit du rôle de l’UNEDIC et portera tous ses efforts sur le retour à l’emploi, seul paramètre utile au retou
r à l’équilibre de son régime.

Dossier suivi par : Marie-Françoise Leflon - Secrétaire générale
Tél : 06 77 94 25 77 - E-mail : mariefrancoise.leflon@cfecgc
.fr

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 22:48

24/05/2013 • Économie - Fiscalité

L’Europe tarde à se mettre d’accord pour limiter ce qui est pudiquement appelé « évasion fiscale » et qui, parfois, s’apparente à de la fraude fiscale.

Faute d’accord, il vient d’être décidé de reporter le dossier à décembre prochain. La lutte contre l’évasion fiscale piétine !

Quelques pays cherchent à gagner du temps : les petits paradis fiscaux, au sein même de l’Europe, dans la Manche ou sur le bord de la Méditerranée et le secret bancaire encore en vigueur au Luxembourg et en Autriche permettent d’éviter de payer des impôts sur les bénéfices ou les revenus directement sur leur lieu de production.

Pour la CFE-CGC, il est inadmissible de profiter des infrastructures, des investissements en formation ou des investissements en recherche (souvent payés par la communauté) tout en optimisant sa fiscalité en payant ses impôts dans un pays moins disant. Par exemple : l’Irlande et bientôt le Portugal sont des petits paradis fiscaux pour les impôts sur les bénéfices.

L’Europe n’est dotée que d’instruments assez peu efficaces pour contrer cette recherche d’évasion fiscale. Une boîte à outils existe mais elle n’a pas encore réussi à bannir complètement le secret bancaire. Il reste beaucoup à construire, et sans Europe fiscale pas d’Europe sociale !

La CFE-CGC ira à la conférence sociale des 20 et 21 juin avec des propositions concrètes pou
r construire une Europe sociale et fiscale.

Dossier suivi par : Alain GIFFARD
Secrétaire national confédéral – Economie et Industrie
Tél. : 06 80 23 50 72 - E-mail : alain.giffard@c
fecgc.fr

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 22:46

23/05/2013 • Protection sociale

Le rapport Fragonard propose de mettre les allocations familiales sous conditions de ressources. Cela signifie mettre fin au principe d'universalité.

C'est scandaleux ! C'est prendre le problème par le mauvais bout de la lorgnette en raisonnant uniquement sous l'angle de la réduction des dépenses. La CFE-CGC demande au gouvernement de penser en termes d’investissements et de retour sur investissements.

La politique familiale permet aux deux personnes d'un couple de salariés de l'encadrement de pouvoir travailler. Mettre des conditions de ressources incitera l'un des deux à revenir au foyer, cela détruira des emplois dans les métiers des services à la personne et les familles devront faire des choix dans les dépenses du foyer.

Dans un contexte de récession, avec un chômage galopant et un pouvoir d'achat en baisse, la CFE-CGC ne comprend pas que le gouvernement, qui a fait de l'emploi son cheval de bataille, puisse un seul instant persévérer dans cette voie et continuer à paupériser les agents de maîtrise, techniciens, cadres et ingénieurs du privé comme nos collègues des fonct
ions publiques.

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Présentation

  • : Le blog de cfecgc.urssafnordpasdecalais
  • : (2ème blog, voir rubrique liens utiles : http://cfecgc.urssafnordpasdecalais.over-blog.com)
  • Contact

Présentation de livres

Le stress des cadres, Bernard Salengro

Cet ouvrage propose des témoignages suivis d'explications et d'analyses donnant des clés pour la compréhension et la prévention des pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises. Les professionnels et membres d'encadrement sont d'autant plus concernés qu'ils sont les plus touchés.  Les entreprises sortiront gagnantes d'une prise en compte de ce phénomène à sa juste réalité en ne pratiquant plus le déni.

Le management par la manipulation mentale
, Bernard Salengro, L'Harmattan, 2006

Bernard Salengro met dans son second ouvrage, l'accent sur des situations vécues comme des manipulations. Par leur sincérité et l'analyse que Bernard Salengro a pu en faire à la lumière des derniers travaux de psychologie, les témoignages poignants publiés dans cet ouvrage donnent de précieuses clés pour la compréhension et la prévention de pratiques de harcèlement moral au sein des entreprises.

Journal d'un médecin du travail,
 Dorothée Ramaut, édition Le Cherche midi, 2006

Présentation de l'éditeur :
Un adage affirme : " le travail c'est la santé ".  
Réalité ? Peut-être pas. Il s'agit même pour certains d'une véritable torture morale. Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut pendant six ans est un témoignage unique de la détresse et la souffrance psychologique des salariés d'une grande surface. Elle y dénonce un harcèlement " stratégique " et systématique appliqué à l'ensemble de la hiérarchie. Le docteur Ramaut est le premier médecin du travail à rompre le silence trop longtemps gardé sur ces méthodes " contraires aux droits de l'homme ".

Stupeur et tremblements
, d'Amélie Nothomb (roman), Le Livre de poche, 2001

Employée comme interprète au sein d'une entreprise japonaise, l'héroïne se retrouve, après plusieurs incidents, rétrogradée au simple rang de "nettoyeuse de chiottes". Description d'un monde du travail très particulier...

Harcèlement moral dans la vie professionnelle, 
 Marie-France Hirigoyen, Pocket, 2002

Le harcèlement moral au travail est une des violences les plus destructrices qui soient. Le succès du premier ouvrage de Marie-France Hirigoyen, paru en 1998, démontre que chacun d'entre nous est un pour l'acteur ou le témoin de ce phénomène social dont on ignorait jusque-là l'ampleur. Depuis, les témoignages se sont accumulés, de multiples affaires ont éclaté, dans le public ou le privé, un débat permanent s'est instauré dans les médias entre psychologues, chefs d'entreprise, syndicalistes, parties prenantes de ce fléau ordinaire. Riche de quatre années d'expériences et de réflexions nouvelles, Marie-France Hirigoyen, dans ce second ouvrage paru sous le titre original "Malaise dans le travail, harcèlement moral - Démêler le vrai du faux", affine son analyse, poursuit son combat, afin de mieux comprendre et prévenir.

Le harcèlement moral au travail,
 Philippe Ravisy, édition Dalloz-Sirey

Face noire du monde du travail, ce mal n'épargne personne : cadres, employés, fonctionnaires...
De silences en sous-entendus, de brimades en vexations, de déstabilisations en humiliations, le harcèlement s'installe. Aller au travail devient un enfer. La dépression succède à l'incompréhension. Le législateur est heureusement intervenu pour combattre ce fléau avec la mise en place d'un " dispositif anti-harcèlement " : d'un côté, la loi interdit, sanctionne et prévient ; de l'autre, elle protège et facilite la preuve.
L'apport des toutes dernières décisions de justice est aussi essentiel pour déterminer et mettre en cause les responsabilités de chacun, en particulier celle de l'employeur. Philippe Ravisy, l'un des tous premiers avocats à s'être préoccupé du sort des victimes, explique dans ce livre comment faire pour s'en sortir et obtenir réparation. Précis, complet, accessible à tous, il permet de trouver sa solution et de la mettre en œuvre.
 
La persécution au travail, de Heinz Leymann

Ce livre - best-seller en Allemagne et dans les pays nordiques, publié une première fois en France sous le titre « Mobbing » révèle l'étendue d'un vaste fléau. De nombreux salariés sont, sans raison valable, victimes de leurs collègues, de leurs supérieurs hiérarchiques, parfois même de leurs subordonnés coalisés contre eux: on les harcèle, on les met en quarantaine, on les humilie, on tente de les briser par tous les moyens. 
Comment identifier la persécution professionnelle? Comment la combattre? Quels sont les recours dont dispose le salarié? En répondant à ces questions, H. Leymann en appelle à la constitution concrète d'une véritable éthique professionnelle. 

L'open space m'a tuer,  Alexandre des Isnards et Thomas Zuber 
 
Le livre met en scène des tranches de vie en racontant le quotidien pas toujours glorieux des jeunes cadres des années 2000. Fini le jeune ambitieux des années 1980. Le trentenaire d'aujourd'hui prend ses RTT, ses congés, et pense que la vraie vie est ailleurs. Réussir sa vie et sa carrière semblent devenus deux objectifs antinomiques. 
Les nouvelles méthodes de management sont peut-être alléchantes sur le papier, mais carbonisent vite les jeunes recrues qui, passée l'ivresse des premiers mois s'éloignent de l'entreprise. Malaises vagaux sur le lieu de travail, dépendance médicamenteuse, dépression, départ du jour au lendemain de jeunes bardés de diplômes pour une ONG humanitaire : les jeunes cadres dynamitent. Jusqu'à présent, ils continuaient à faire bonne figure. Avec ce livre, ils décident enfin d'ôter le masque.

Petit traité contre le sexisme ordinaire de Brigitte GRESY
LE LIVRE 

Entrons en résistance ordinaire contre le sexisme ordinaire ! 

Ce que l’auteur nomme « sexisme ordinaire » ne relève ni de la discrimination ni de l’inégalité avérée pour lesquelles il existe des lois. Il s’agit de tous ces petits signes de la vie de tous les jours, ces minuscules blessures, mots et signes de condescendance, de rejet, de paternalisme qui infantilisent souvent les femmes sans qu’elles sachent comment y faire face.  

Dans les relations de travail, entre collègues, face aux cadres dirigeants ou quand elle est supérieure hiérarchique, une femme rencontre quotidiennement ce qui fait le gisement du sexisme ordinaire : condescendance, dénigrement, obstruction, exclusion, fausse courtoisie, 

blagues douteuses. A travers un certain nombre d’anecdotes prises sur le vif, l’auteur débusque avec passion mais aussi humour, ce qui entrave, blesse, contrarie ou bloque le comportement des femmes et les rend parfois impuissantes à réagir. Et elle propose une sorte de boîte à outils personnelle pour mener des opérations de résistance au quotidien. Le propos est ici celui de la connivence, de l’invitation au jeu si important de la négociation pour ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre, et pour aider à tracer son chemin face aux stéréotypes et à la guerre larvée de l’égalité.  

L’auteure renvoie à un site WWW.sexismeordinaire.com pour qu’hommes et femmes racontent leurs propres histoires vécues dans leur milieu de travail.  

L’AUTEUR 

Brigitte Grésy, énarque et agrégée de grammaire, a été directrice de cabinet de la ministre de l’égalité professionnelle et de la parité. Elle est actuellement inspectrice générale des affaires sociales, rapporteure de la commission sur l’image des femmes dans les médias et a remis en 

juillet dernier au ministre du travail un rapport sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.  

 

Osez le dialogue social dans l'entreprise

 

Faire du dialogue social un levier de la performance globale de l’entreprise en prenany en compte les attentes des salariés, c’est possible ! 

Qui a dit que le dialogue social était bloqué en France ? Tous les jours, dans des entreprises, même en temps de crise, dirigeants et syndicalistes discutent, négocient et trouvent des solutions nouvelles alliant performance globale de l’entreprise et prise en compte des attentes des salariés. 

Comment formaliser le dialogue social dans une PME en croissance ? 

Comment mettre en oeuvre l’accès des personnes handicapées à l’emploi ?

Comment anticiper les besoins de formation des salariés pour sécuriser leurs parcours professionnels et développer l’entreprise ?

Comment concilier droit des saisonniers et qualité du service touristique ? 

En neuf cas d’entreprises de tailles et de secteurs variés, cet ouvrage donne la preuve par l’exemple que le dialogue social est bénéfique pour les salariés comme pour la performance durable des entreprises. 

La parole y est donnée à des dirigeants et syndicalistes qui racontent sans fard les réalités de leur dialogue social. 

Les rédacteurs : 

Marie-Noëlle Auberger, consultante et rédactrice dans le domaine des relations sociales, de la gouvernance et de la responsabilité sociétale des entreprises.(www.gestionattentive.com). 

Nicolas Duffour, journaliste, conseil en communication, animateur de débats et colloques, présentateur d’IPSOS TV. 

Dominique-Anne Michel, journaliste, réalisatrice, conseil et formatrice en communication. Coordinatrice éditoriale de l’ouvrage. 

François Perrin, journaliste. 

Jean-Paul Guillot est docteur d’État es sciences économiques. Créateur, dirigeant et administrateur d’entreprises, il est président de Réalités 

du Dialogue Social (RDS), depuis 2005. 

Carmen Rubia est diplômée du Centre de Formation et de Perfectionnement des Journalistes. Directrice adjointe des relations extérieures du groupe Aprionis, elle est responsable du groupe de communication de RDS. 

L’association RDS réunit des entreprises, des structures publiques et l’ensemble des organisations patronales et syndicales représentatives au plan national. Lieu d’échanges ouvert, elle s’attache à promouvoir un dialogue social de qualité. 

 

(source : www.cfecgc.org) 

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